Orfèvre à Paris. Membre du groupe des Harmonistes en 1843.
Fin 1843, il donne son adhésion à la Correspondance phalanstérienne du groupe des Harmonistes dont la gérance et le secrétariat sont assurés par Jounin. Le groupe a pour objectif de « rétablir [les liens entre] les Phalanstériens disséminés sur le sol de France » [1]. Fèvre réside rue Richelieu à Paris [2].
Est-ce François-Auguste Fèvre joaillier puis rentier qui a connu Fourier ? Est-il la même personne que le rentier Fèvre, caissier parisien de la maison rurale et d’apprentissage de Naintré (Saint-Benoît, Vienne) établie par Jouanne et Gauvain en 1845-1846 ?
[1] « [Lettre]. Paris, 18 juillet 1843 », Le Nouveau Monde, 1er août 1843, p. 1.
[2] Il n’est pas inscrit dans l’Almanach de plus de 45,000 adresses du commerce de Paris…, Paris, Bureau central, 1843 (en ligne sur Gallica) , ni dans l’Annuaire général du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de l’administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, Paris, Firmin-Didot, 1843 (en ligne sur Gallica), ni dans l’Annuaire général du commerce, de l’industrie, de la magistrature et de l’administration : ou almanach des 500.000 adresses de Paris, des départements et des pays étrangers, Paris, Firmin-Didot, 1844 (en ligne sur Gallica).
Sources
« [Lettre]. Paris, 18 juillet 1843 », Le Nouveau Monde, 1er août 1843, p. 1.
« Première liste des adhésionnaires [sic] », Correspondance phalanstérienne, n° 5, janvier 1844, p. 45.
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