Dans une lettre qu’il adresse à Allyre bureau le 21 juillet 1845, François Cantagrel parle de Carcenan en des termes flatteurs : « Nous avons acquis l’un des hommes les plus importants, et celui de tous les Aveyronnais qui peut faire le plus grand bien à nos idées, M. Carcenan... J’ai passé toute une journée à sa fabrique avec lui, son frère et son gendre un jeune homme intelligent et qui est des nôtres, et disposé à s’occuper activement de nos affaires. » Carcenan fait partie d’un petit groupe de notables aveyronnais souvent transfuges du saint-simonisme et ralliés au fouriérisme sous l’influence sans doute de Jules Duval.