Membre de la colonie phalanstérienne du Sahy (São Francisco do Sul, Santa Catarina, Brésil).
Selon un témoignage rédigé le 5 janvier 1843 et paru dans le Jornal do Commercio de Rio de Janeiro, il est parmi les colons qui se considèrent « très satisfaits de leur chance. Les plus anciens, comme MM. Garilliant, Trubert et d’autres, écriront déjà en France pour appeler leurs enfants et inviter leurs concitoyens à partager leur chance » [1].
[1] Jornal do Commercio (RJ), 26 février 1843, p. 3. « e os colonos pareclão mui satisfeitos de sua sorte. Os mais antigos, como o Sr Garilliant, Trubert e outros, jã escrevèrão para a França chamando seus filhos e convidando seus conbedicos a partilharem sua sorte ».
Sources
« Correspondencias. Colonia industrial do Sahy », Jornal do Commercio (RJ), 26 février 1843, p. 3 (en ligne sur Biblioteca Nacional Digital Brasil).
Bibliographie
Laurent Vidal, Ils ont rêvé d’un autre monde, Paris, Flammarion, 2014, p. 226-228.
.
.
.