Bottier à Paris. Travailleur phalanstérien. Contribue à la souscription initiée par le groupe du Nouveau Monde pour la fondation du phalanstère d’enfants.

Leroy tient un magasin de bottes et chaussures au 28 rue d’Iéna à Paris1 [1]. Travailleur de l’École phalanstérienne, son enseigne se distingue « surtout par la confection des brodequins pour les dames ; on expédie pour la province ». Il est encore signalé au titre de travailleur phalanstérien en 1843 par Le Nouveau Monde. Il est installé place de l’Esplanade des Invalides où il propose des « brodequins de dames » recommandés par le journal [2].
En 1841, il contribue modiquement (0,25 centime), mais à plusieurs reprises (6 fois), à la souscription initiée par le groupe du Nouveau Monde pour la fondation du phalanstère d’enfants [3].

Quel lien a-t-il avec Jacques Leroy, contributeur à la souscription pour la fondation du phalanstère d’enfants, avec le tailleur Leroy, membre du comité de la souscription phalanstérienne et également contributeur à la souscription pour la fondation du phalanstère d’enfants et avec Joseph Leroy qui participe à l’aventure phalanstérienne au Brésil ?