Cet habitant de Mâcon, imprimeur de son état, est présent au congrès phalanstérien de Cluny (28 août 1839). Il porte à cette occasion un toast « aux femmes phalanstériennes qui, comme nous s’associent de cœur et d’action à la propagande de la théorie de Charles Fourier, seule capable de faire régner le bonheur sur la terre ! »
Il est correspondant de l’Union harmonienne pour l’année 1840. Il réside alors place de l’Hôpital. Il est abonné à La Phalange en 1841-1842 [1]
[1] Ecole normale supérieure, fonds Considerant, carton 3, dossier 2, chemise 1, cahier n°4, 14 juillet 1841 au 28 février 1842 (abonnements à La Phalange).
Source
Ecole normale supérieure, fonds Considerant, carton 3, dossier 2, chemise 1, cahier n°4, 14 juillet 1841 au 28 février 1842 (abonnements à La Phalange).
Le Nouveau Monde, 21 septembre 1839.
Almanach social pour l’année 1840, Paris, Librairie sociale, 1840, p. 179. (En ligne sur le site de la Bibliothèque virtuelle de l’Université de Poitiers, Premiers socialismes).
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