Elle explique dans Le Nouveau Monde début mars 1841, qu’il serait plus facile de faire avancer les idées de Fourier en construisant un opéra qu’en s’engageant dans le projet d’un phalanstère. En insistant sur les vertus de l’opéra, elle relaie l’attachement de Fourier pour cette forme d’art : « Il faut qu’on nous admire à la parade, qu’on pleure d’attendrissement à nos réceptions enfantines, qu’on s’extasie devant la beauté noble des vestels et des vestales, devant le dévouement dans bornes des petites hordes, devant la grâce et le charme irrésistible des petites bandes ; enfin que la séduction soit portée au comble quand paraîtront les favoris et favorites du globe. »
Sources
Le Nouveau Monde, 1er mars 1841.
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