Ingénieur, il vit un certain temps aux Etats-Unis. Phalanstérien convaincu, il est un oncle maternel d’Hippolyte Taine, qu’il essaie de convertir au fouriérisme, mais sans succès : en 1871, Taine écrit : « Depuis Babeuf jusqu’à Saint-Simon et Fourier, depuis Louis Blanc Proudhon et Cabet jusqu’à l’Internationale, plusieurs sortes de milleniums ont été construits sur le papier et nous savons quels ravages ils font dans les cerveaux incultes conduits par des cerveaux demi-cultivés. »
Sources
Journal des débats, 15 octobre 1871.
François Léger, La Jeunesse d’Hippolyte Taine, Paris, Albatros, 1980.
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