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Site internet de l’Association d’études fouriéristes et des Cahiers Charles Fourier

67-80
Un imprimeur bisontin au service des fouriéristes : Louis de Saint-Agathe
Article mis en ligne le décembre 2000
dernière modification le 18 juillet 2021

par Vernus, Michel

Antoine Louis de Sainte-Agathe (1803-1880), libraire-imprimeur de Besançon, sans avoir été semble-t-il un militant fouriériste, a été en relation étroite avec les membres de l’école sociétaire. Non seulement il a imprimé des ouvrages fouriéristes, mais il était abonné à la Phalange et à la Démocratie Pacifique ; de même il participa en 1837 à la souscription lancée par Muiron en faveur de Fourier. Il est connu, Jean-Claude Dubos lui a consacré une notice dans le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier de Jean Maitron, nous-mêmes l’avons rencontré dans nos études sur les imprimeurs et libraires de Franche-Comté. L’objet de ces lignes est de faire connaître quelques documents nouveaux [1], qui permettent de préciser les relations que cet imprimeur a pu entretenir notamment avec Just Muiron, Victor Considerant, Hyppolite Renaud ou encore François Cantagrel.

Une vieille famille de libraires

La famille de Sainte-Agathe est d’origine sicilienne, certains de ses membres se sont implantés à Besançon au milieu du XVIIIe siècle. Un ancêtre de Louis vers 1750 fabriquait des cartes à jouer tout en tenant une modeste boutique de librairie ; en 1768, dans la petite boutique qu’il tenait, il était possible d’acquérir des images, des cartes de géographie et quelques livres de dévotion [2].

Jean Madeleine de Sainte-Agathe (1761-1837), père de Louis, a par la suite développé ce commerce de librairie. En 1820, une enquête préfectorale indique simplement, « ancien libraire. On y tient peu de livres, mais des fournitures de bureau, du papier » ; il faisait également grand commerce de papier peint, dont la mode se développait alors. Il a été adjoint au maire de Besançon de 1800 à 1815, ce qui atteste d’une très réelle notabilité. Louis de Sainte-Agathe, son fils, continue ce commerce, et en 1833, il donne une ampleur nouvelle à l’affaire familiale en adjoignant à la librairie un atelier d’imprimerie.

En effet, sa tante, Jeanne Louise de Sainte-Agathe (1764-1838) avait épousé un imprimeur, Jean-François Daclin [3] ; à la mort de ce dernier, elle devint propriétaire de l’imprimerie. Elle épousera ensuite Claude-François Mourgeon, et continuera à faire tourner l’imprimerie avec son nouvel époux. En 1809, l’imprimerie de la veuve Daclin est dite « très ancienne ». Dame Mourgeon, Jeanne Louise, en 1827 est dite « veuve Daclin, femme Mourgeon, imprimeur du Roi » ; son brevet d’imprimerie avait été confirmé en date du 2 juillet 1819 [4].

Claude-François Mourgeon était conseiller de préfecture [5] ; c’est là sans doute qu’il fit la connaissance de Just Muiron, qui travaillait lui aussi à la préfecture. Ce dernier a été, comme on le sait, le premier lecteur de Fourier et le premier militant fouriériste, à partir de 1816. En 1832, « la femme Mourgeon » abandonne l’imprimerie. Dès lors, c’est Antoine Louis de Sainte-Agathe, le neveu, qui prend la succession. Et, c’est précisément dans l’atelier de celui-ci que seront imprimés quelques ouvrages fouriéristes importants.

Louis de Sainte-Agathe fait donc « rouler » son atelier d’imprimerie à partir de 1833, il en assure la direction jusqu’en 1850. Tout au long de cette période, on le voit déployer un grand dynamisme commercial. L’Annuaire du Doubs de 1844 décrit l’atelier d’imprimerie et de lithographie en ces termes : « Louis de Sainte-Agathe, Grande Rue 42, 20 ouvriers, 4 presses, 64 000 francs de produits par an qui se placent à Besançon et dans la province. Les impressions qui sortent de cet atelier sont remarquables par leur perfection ». Il est alors l’imprimeur de la Préfecture, de la Cour Royale et de l’Académie, enfin il édite la Feuille d’Affiches de Besançon.

Surtout, il imprime différents ouvrages fouriéristes. En cela, il continue la tradition inaugurée par la tante « Louison », comme elle était appelée dans la famille. En effet, celle-ci avait eu l’opportunité d’imprimer notamment le Traité de l’Association domestique-agricole de Fourier dès 1822, puis en 1832, les Nouvelles transactions de Virtomnius de Just Muiron.

Sur le plan des personnes, le lien entre cet atelier et le fouriérisme est dès l’origine assuré par Just Muiron, collègue de Mourgeon à la préfecture. D’ailleurs, dès 1807, on peut constater que sur les registres de l’atelier tenus semaine après semaine Muiron passait des commandes à l’imprimerie pour divers travaux administratifs relevant de son service (il s’agit surtout de commandes de formulaires et d’affiches). Sans aucun doute, c’est donc bien Muiron qui a dirigé les premiers manuscrits fouriéristes vers cet atelier d’imprimerie et c’est encore lui qui assurera par la suite la liaison avec l’équipe parisienne, perpétuant ainsi l’origine bisontine du mouvement.

L’imprimeur de Destinée sociale

Dans ces conditions, il n’est donc pas surprenant que Louis de Sainte-Agathe ait été l’imprimeur des deux premiers volumes de Destinée sociale de Victor Considerant [6], puis quelques années plus tard du troisième volume.

« Un compte de Victor Considerant avec L. Sainte-Agathe » figurant sur une feuille détachée, datée du 16 mars 1835, permet de connaître les conditions financières de la parution de l’ouvrage qui était appelé à devenir le grand manuel fouriériste, dont l’objectif était d’exposer avec clarté les idées du Maître. L’ouvrage était destiné à être l’indispensable instrument de la propagation des idées du mouvement.

Ce compte nous donne également le chiffre du tirage de la première édition de l’ouvrage. Il fait apparaître également l’édition des Considérations sur l’Achitectonique, imprimées également par Sainte-Agathe, qui se présente sous la forme d’un opuscule comme une simple reprise de l’un des chapitres de Destinée sociale.

Compte de Victor Considerant avec L. de Sainte-Agathe

DOIT AVOIR
1834 7bre 26, Impression du 1er volume de La Destinée sociale in-8 à 1 500 ex. ; 800 couvertures seulement 2 693,90 1834 8bre. Reçu pour diverses souscriptions 65,00
9bre 1 Considérations sociales sur l’Architectonique in-8 de 8 feuillets 1/2 à 500 ex., couverture imprimée 321,05 Reçu en espèces de M. V. Considerant le 11 7bre 500,00
9bre 24. Reçu un billet de banque de M. Just Muiron 1 000,00
1835 mars. Reçu en espèce M. J. Muiron 1 000,00
Juin 16. Touché chez Bretillot six bons de J. Muiron 400,00
Total 3 014,95 Solde 53,95

On voit que Just Muiron était le trésorier, jouant le rôle d’intermédiaire, qui réglait sur place les comptes avec l’imprimeur. Au fur et à mesure d’ailleurs que les souscriptions rentraient.

Liste des premiers souscripteurs

On trouvera à la fin de l’article les listes des premiers souscripteurs de Destinée sociale. Le foyer bisontin (et comtois) est à cette date de toute évidence prédominant, une cinquantaine d’exemplaires pour les personnes bien repérées et identifiées. A ce niveau, les liens d’amitié, de connaissance, et de parenté jouent dans la diffusion de l’ouvrage un rôle qui apparaît décisif.

En revanche, les envois effectués à l’extérieur donnent une idée approchante de l’importance des groupes fouriéristes en 1834. On notera 30 envois à Lyon, 20 à Paris, 16 à Bordeaux et Colmar, tels semblent être dans cette géographie de l’implantation fouriériste les foyers principaux de l’activité. L’importance du groupe de Colmar est à relever. Il comptait parmi ses membres Scheurer, père de Scheurer-Kestner ; l’importance de ce groupe semble due à l’action personnelle du docteur Jaenger, présent sur la liste des souscripteurs.

Ces listes confirment que le premier recrutement fouriériste se fait assez haut dans la hiérarchie sociale. Dans le seul foyer bisontin, qui est le plus aisé à cerner et à analyser, les souscripteurs disposent de toute évidence d’un double privilège, celui de la fortune assorti d’un fort capital culturel et intellectuel. Les souscripteurs sont en effet négociants, médecins, officiers, polytechniciens... Parmi eux, on note par exemple la présence d’au moins 9 membres de l’Académie des Sciences Belles-Lettres et Arts de Besançon. On pourra comparer ces listes de 1834 à celle des abonnés à la Phalange publiée dans notre Considerant : on y rencontre le même horizon social [7].

Hippolyte Renaud et de Sainte-Agathe

Claude Hélène Hippolyte Renaud (1803-1873), fils d’un avocat de Besançon, a suivi la filière que Victor Considerant lui-même empruntera un peu plus tard : lycée de Besançon, École Polytechnique, puis École d’application d’artillerie de Metz. Ce spécialiste de l’artillerie est devenu un actif propagandiste du fouriérisme. Il a été l’auteur d’un livre qui a connu un certain succès, Solidarité, vue synthétique de la doctrine de Charles Fourier, imprimé justement lui aussi par Louis de Sainte-Agathe en 1842 [8].

Or, en juin 1843, Hippolyte Renaud adresse une lettre à son ami Louis de Sainte-Agathe, lequel se trouve alors à Venise pour un voyage d’agrément effectué dans la péninsule italienne. Cette lettre montre les liens étroits et chaleureux que les deux hommes entretenaient :

« Illustre voyageur !

« Depuis que, à travers mille dangers, au prix de mille fatigues, tu as découvert cette ville singulière à laquelle tu as donné le nom de Rome, ville dont les coutumes sont si bizarres qu’il faut pour y croire toute la foi que ton caractère impose à ceux qui lisent avidement tes précieux récits, j’ai peine à te parler avec cette familiarité qu’excuse peut-être pour la justifier une habitude enracinée dès la première enfance. Poursuis donc le cours de tes voyages... et écoute en attendant le récit de ce qui se passe dans ta patrie.

« Après maintes discussions, pour le titre du nouveau journal, Victor avait pressenti Démocratie pacifique, titre qui me déplaisait pour différentes raisons, et qui a été rejeté définitivement par l’influence de Bixio [9] qui offre de penser au journal avec toute la clientèle agricole, clientèle importante, comme tu sais. Il y a eu des réunions où ont paru plusieurs députés, le maire de Strasbourg, M. Gasparice, etc. Le journal paraîtra le 17 juin et le titre proposé aujourd’hui par Victor est l’Ordre Nouveau, car le titre Phalange est décidément repoussé, à mon grand regret. Voilà où en sont les choses, la forme dépasse la prévision et tout ira bien je l’espère, quoiqu’il me reste une inquiétude que je me réserve de t’expliquer verbalement s’il y a lieu. Le livre de Pellarin [10] se vend bien et demande de nouveaux exemplaires, le premier envoi ayant été enlevé rapidement.

« C’est donc à Venise que cette lettre ira te trouver, heureux mortel, quel gracieux souvenir tu vas rapporter de cette excursion. Puisses-tu ne pas trouver la française bien pâle et bien froide, après avoir levé dans tes bras les vénitiennes amoureuses, les napolitaines si vives, les romaines si voluptueuses, etc., etc., etc. Sûr je te connais, tu auras mis le temps à profit et tu auras pensé que les nuits ne sont pas toujours faites pour dormir.

« Rien de nouveau à Besançon, nos amis sont en bonne santé, et il nous est arrivé quelques nouveaux phalanstériens avec lesquels tu feras connaissance à ton retour. Nous faisons des progrès rapides et bientôt on n’osera plus ne pas être phalanstérien...

« Je t’embrasse affectueusement. Tout à toi ! ».

Ces lignes témoignent d’une très évidente complicité entre les deux hommes. En outre, elles apportent un témoignage intéressant sur les hésitations qui eurent lieu concernant le choix du titre du nouveau journal, dont l’école sociétaire souhaitait se doter, dans la phase montante de son développement. On notera enfin le bel enthousiasme des dernières lignes, à une époque, où, il est vrai, le mouvement est dans une réelle phase ascendante.

On sait que le titre du journal qui a finalement prévalu est celui de Démocratie pacifique, titre qui impliquait aux yeux de Considerant une véritable stratégie de conquête de l’opinion. Il s’en explique en ces termes dans le Manifeste de la démocratie pacifique au XIXe siècle (1843) :

« Les partis révolutionnaires font aujourd’hui du mot de DÉMOCRATIE un drapeau de révolution et de guerre, une arme redoutable, les uns contre l’ordre politique et le gouvernement, les autres contre la propriété et la base de l’ordre social.

« Il faut leur arracher des mains cette arme, il faut leur enlever hardiment ce drapeau... ».

Ce journal, Considerant en avait fait les premières études dès le mois de novembre 1842, et le premier numéro devait paraître le 1er août 1843 [11].

L’impression du troisième volume de Destinée sociale

Ce troisième volume consacré exclusivement à l’éducation, a été longtemps attendu par les militants. Il est paru en effet dix ans après les deux premiers, il devait d’ailleurs être suivi par un quatrième volume consacré à la morale, qui ne vit jamais le jour.

Comme les deux précédents, ce volume fut imprimé en 1844 à Besançon par les soins de Louis de Sainte-Agathe. Deux lettres de Cantagrel expédiées à l’imprimeur bisontin font notamment allusion à l’impression de ce troisième volume :

« Paris, le 22 août 1844,

« Mon cher ami,

« Vous trouverez ci-joint :

1/ Un portrait de daguerrotype fait sur un portrait au crayon de Victor Coste [12] que je vous prie de remettre à M. Paul Coste avec lettre ci-jointe.

2/ Un billet à l’adresse de notre cher doyen [13].

3/ La première partie (tant attendue !) du troisième volume de Destinée avec correction, annotations, changements et instructions de l’auteur. Je n’ai pas besoin de vous recommander de nous renvoyer épreuves du tout au plus tôt. Nous mettons une grande activité dans votre librairie et nous désirerions pouvoir mettre ce demi volume en vente au plus tôt.

« En nous renvoyant les épreuves, dites-nous un mot de la négociation dont vous êtes chargé près de Just, tant pour sa position personnelle vis-à-vis de nous que pour le paiement par Gréa [14] des frais de Destinée. Il faut vous dire du reste, que, réglant le tout, anciens fonds qui ont été donnés pour la propagation, je fais préparer et j’enverrai sous peu de jour à M. Gréa six actions de 500 francs ensemble 3 000 francs.

« Adieu, mon cher ami, soignez bien votre santé, quand je pense à la perte que nous avons fait en la personne de Victor Coste, je tremble pour tous nos amis. Faites à tous nos amitiés, ma cordiale poignée de main ».

Une seconde lettre de Cantagrel, rédigée sur un papier à en tête de la Démocratie pacifique, évoque à nouveau l’édition de ce troisième tome, ainsi qu’un voyage à Besançon destiné à apurer les comptes avec l’imprimeur.

« Paris, le 26 octobre 1844

« Mon cher ami,

« Voici l’épreuve de la couverture de la première livraison de Destinée sociale, 3e volume. Quant aux épreuves de l’éducation, j’en suis inquiet, car je vous les ai fait renvoyer : auraient-elles été perdues ?

« Ci-joint une petite note pour Muiron. Il a dû en recevoir une de moi, déjà, où je lui disais que j’étais sur le point de partir. Je ne pourrai partir en effet que mardi prochain selon toute apparence.

« M’arrêtant à Dijon et à Gray, je mettrai deux jours de plus que si j’allais en droiture. D’ici là, tachez, si vous ne l’avez pas fait de tâter notre cher doyen sur ses rapports de compte avec vous, et sur ce point délicat dont nous avons parlé.

« J’emporte avec moi toutes les pièces nécessaires et je ne veux quitter Besançon qu’après avoir réglé avec M. Sainte-Agathe et M. Muiron et M. Renaud un compte de Doit et Avoir.

« Ne pourriez-vous serrer votre page d’annonces [15] et y introduire, telles qu’elles sont annoncées au dedans de l’almanach [16] nos publications à bon marché ?

« Je vous serre la main en attendant le cordial embrassement que je vous destine ».

***

Au-delà de cette date, Louis de Sainte-Agathe ne semble pas avoir effectué d’autres travaux au bénéfice des fouriéristes. Après 1844, en effet, l’activité éditoriale de l’École sociétaire est de plus en plus centrée sur Paris. L’implantation parisienne du mouvement l’éloigne progressivement de ses bases originelles bisontines. Désormais, les publications se feront à Paris.

Documents

État des 300 premiers exemplaires de Destinée sociale [17]

(27 octobre 1834)

Envois extérieurs :

15 sept Dorian [18] Montbéliard 8 exemplaires
Gustave Considerant [19] Salins 10 "
1er sept Jaenger [20] Colmar 16 "
22 sept Hippolyte Renaud Nevers 10 "
Gras Belfort 1 exemplaire
Madaule [21] Rocroy 10 exemplaires
Crasson Bayonne 5 "
Melle Beuque [22] Lyon 30 "
Maurize Paris 20 "
Dulac Bordeaux 16 "
Coste Metz 10 "
Reydor [23] Bulle (Suisse) 10 "
Total 146 "

Envois individuels :

Souscripteurs
Trémolières [24] 1 exemplaire
Pécot, le docteur [25] 1 exemplaire
Dadole J.M.  1 exemplaire
Villars 1 exemplaire
Bergier 1 exemplaire
M. Gauthier 1 exemplaire
M. Dreyfus [26] 1 exemplaire
Aaron Hauser 1 exemplaire
Martin [27] 1 exemplaire
Delacroix [28] 1 exemplaire
Auguste Demesmay [29] 1 exemplaire
Eugène Demesmay 1 exemplaire
Muguet [30] 1 exemplaire
Dornier 1 exemplaire
Parandier [31] 1 exemplaire
Galliot jeune 1 exemplaire
Courtial 1 exemplaire
Chapuis 1 exemplaire
Alfred Marquiset [32] 1 exemplaire
Bourgon professeur [33] 1 exemplaire
Langlois 1 exemplaire
Convers César [34] 1 exemplaire
Courvoisier [35] 1 exemplaire
Lemoine 1 exemplaire
Chaudet à Loulan 1 exemplaire
Moirans 1 exemplaire
Joseph Gauthier [36] 1 exemplaire
Flajoulot [37] 1 exemplaire
Faivre (à Paris) 1 exemplaire
Grand 1 exemplaire
Gaudot 1 exemplaire
Prével François 1 exemplaire
Paul Coste 1 exemplaire
Léon Lambert 1 exemplaire
Souscripteurs et envois 182 exemplaires
Dépôt à la préfecture 2
Exemplaires donnés à Besançon 10
Exemplaires envoyés à Dijon par Muiron (Faivre) 6
Restent :
• chez Muiron 5
• chez St Agathe 95
Exemplaires donnés en feuilles à Victor et autres 8
Total général 308

Note : « État reconnu par Victor au 27 octobre 1834 »

Viennent s’ajouter :

Vertel fils cadet [38] 1 exemplaire
Dufournel fils 1 exemplaire
Bretillot fils [39] 1 exemplaire
Jeanneney [40] 1 exemplaire
Grism lt d’artillerie 1 exemplaire
De Raimond [41] 1 exemplaire
Pages lt d’artillerie 1 exemplaire
Gauthier lt d’artillerie 1 exemplaire
Victor Coste [42] 1 exemplaire
F. Mairot 1 exemplaire

Aphorisme du jour :
Les sectes suffisent à elles seules à guider la politique humaine dans le labyrinthe des passions
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