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Jean-Claude Sosnowski  |  mise en ligne : mai 2023

Ysabeau, (Victor-Frédéric-) Alexandre


Né le 23 ventôse an VIII (14 mars 1800) [1] à Rouen (Seine-inférieure, auj. Seine-Maritime). Décédé le 21 avril 1873 à Paris (13e). Médecin, professeur de belles-lettres, agriculteur et agronome, professeur d’histoire naturelle. Collaborateur de La Démocratie pacifique de 1843 à 1846.


Il est le fils du conventionnel Claude-Alexandre Ysabeau (1754-1831), commissaire du gouvernement auprès de l’administration de la poste à Rouen en 1800 et de Louise Suzanne Ysabeau [2] mariés à Paris le 1er thermidor an III (19 juillet 1795) [3]. Vers 1805-1806, Alexandre Ysabeau accompagne son père, devenu simple commis à la correspondance en Belgique. Ses différents biographes affirment qu’il revient à Paris en 1813 et font de lui un volontaire, qui s’enrôle et est blessé à Montereau (Seine-et-Marne) le 18 février 1814. Après les Cent-Jours, on apprend que Claude-Alexandre Ysabeau laisse « son fils, apprenti chez un pharmacien » [4] à Paris. Condamné pour avoir voté la mort de Louis XVI, Claude-Alexandre Ysabeau doit s’exiler en Belgique jusqu’en 1830. Alexandre Ysabeau le rejoint à Vilvorde près de Bruxelles [5]. Claude-Alexandre Ysabeau y vit avec sa fille, son épouse ayant succombé peu de temps après son arrivée. C’est plus probablement à cette période qu’Alexandre Ysabeau suit des études de médecine à Liège [6].
Le 12 février 1833, à Versailles (Yvelines), Alexandre Ysabeau épouse une parente, Victoire Suzanne Ysabeau, rentière née à Gien (Loiret) le 4 juillet 1801. Elle est la fille de Denis Martin Ysabeau et Anne Lecomte décédée. Alexandre Ysabeau est professeur de belles-lettres et réside à Liège. Parmi les témoins, il convient de noter la présence de Charles Auguste Fourdrin, architecte à Paris. Il est le frère de Jean-Joseph Fourdrin [7], actif fouriériste en Belgique [8]. C’est en l’honneur du jeune fils décédé de Charles Auguste Fourdrin et de Camille Cornélie Lémard que Victor Hennequin compose un poème en mars 1839 [9].
Ysabeau est bien intégré à la société liégeoise. En 1832, rédacteur du Journal de Liège, il est provoqué en duel à propos d’un point de vue critique émis sur le talent littéraire de Jules Janin [10].
En mai 1833, aux obsèques de J. Comhaire, jeune médecin, enseignant l’histoire naturelle à la Société des sciences naturelles de Liège, il prononce un discours « au nom de tous ceux que sa perte laisse inconsolables » [11]. Il donne des cours d’histoire moderne et de « culture intellectuelle » [12] à la salle de la Société d’émulation. Il est trésorier-adjoint de l’Association pour l’encouragement et le développement de la littérature en Belgique [13]. Il fait partie du tiers sortant aux élections de mars 1836 [14]. Ysabeau est membre de l’Association nationale pour l’encouragement et le développement de la littérature en Belgique [15]. Il est également secrétaire de la commission directrice de l’Association pour l’encouragement des Beaux-Arts [16].
Ysabeau dirige une institution, quai d’Avroy à Liège. Il y accueille les enfants de l’ambassadeur de la Porte à Vienne [17]. Mais Le Messager de Gand du 29 mars 1836 reprenant L’Industrie annonce que « Le sieur Ysabeau, français, qui est venu établir un pensionnat au bout du quai d’Avroy, a levé le pied, en abandonnant ses élèves. Il a réussi, par sa faconde, à faire de nombreuses dupes qu’il a compromises pour des sommes considérables. [...] ». Il semble quitter la Belgique [18], son nom disparaît tout du moins de la presse. Il développe à partir de cette période des talents d’agronome.

Le couple Ysabeau a au moins trois enfants, sans doute beaucoup plus [19] : Alexandrine Adrienne Ysabeau née le 1er juillet 1836 à Paris [20] ; Alexandre Victor Émile né le 8 août 1837 à Paris [21] et Victor Henry Joseph, né le 28 mai 1839 à Sainte-Reine de Bretagne (Loire-Atlantique) - Ysabeau est alors agriculteur au moulin de Crévy [22]. Quelques mois plus tard, Ysabeau est cultivateur en Loire-Atlantique (alors Loire-Inférieure) à Sainte-Reine [23] près de Ponchâteau [24], puis dans le Var, « fermier aux Jausson » [25] « ou Jasson » [26]. Il y cultive, écrit-il, « la vigne en grand » [27]. En 1844, il est « jardinier-maraîcher » à Paris [28], puis à Saint-Mandé (auj. Val-de-Marne) et Choisy-le-Roi (auj. Val-de-Marne) [29]. En 1845, c’est à Thiais, près de Choisy-le-Roi qu’il poursuit son activité [30]. Il retourne en Belgique où il enseigne comme professeur d’histoire naturelle [31]. Le 15 août 1846, son fils Émile reçoit le 1er prix des anciens en langue française distribué à l’École centrale de commerce et d’industrie de Bruxelles [32]. Quelques mois plus tard, une annonce indique qu’Ysabeau est professeur dans cet établissement, portede Cologne à Bruxelles. A partir du dimanche 25 avril 1847 de 15h à 16h pour un tarif de 10 francs de l’heure, il donne des leçons d’« histoire naturelle à l’usage des gens du monde [...]. Ce cours comprendra l’exposé du système du monde, de la géologie et des diverses classes d’être vivans [sic], végétaux et animaux, depuis la mousse jusqu’au palmier, depuis l’insecte jusqu’à l’homme.
L’anthropologie et l’ethnographie y seront l’objet de développemens [sic] particuliers, comprenant le tableau des principales divisions de la race humaine, de leurs différences, et du degré qu’elles occupent dans la civilisation. Le cours formera 12 leçons […].
Première séance publique et gratuite. On pourra se procurer des cartes en s’inscrivant après la première séance » [33].
Ce cours au descriptif racialiste est ouvert aux femmes [34]. En novembre, Ysabeau propose un cours de deux heures sur la « physiologie végétale appliquée à l’horticulture, à l’usage des gens du monde » [35]. Ysabeau complète ses activités pédagogiques par une boulimie éditoriale.

Littérature et économie rurale

Les premiers écrits publiés recensés datent de 1827 [36]. Ysabeau est aussi l’auteur d’un recueil de 79 chansons populaires publié en 1832 [37] :

LA CANAILLE
Air : Les maris ont tort.

Pauvre artisan, souffre, travaille,
Sois bon époux, bon citoyen.
Tu compteras dans la canaille,
Parmi les gueux, les gens de rien (bis).
Mais joins la souplesse à l’audace,
Mérite la faveur d’en haut ;
Fais-toi mouchard, et prends ta place
Parmi les gens comme il faut (bis).

Je vois des gens de la canaille
Partager avec un voisin
L’abri, le pain noir et la paille
Dont ils manquent le lendemain (bis) ;
Je vois des faquins en voiture
Écraser le peuple badaud,
Et rire quand il en murmure :
Ce sont des gens comme il faut (bis).

Sous les boulets, sous la mitraille.
Nos guerriers volaient au trépas,
C’était de la franche canaille,
La France ne s’y trompait pas (bis) ;
D’autres que l’Europe apprécie
Restaient au lit le jour d’assaut,
Vendaient Paris à la Russie :
C’étaient des gens comme il faut (bis). [38]

Alexandre Ysabeau se consacre essentiellement à l’économie rurale. Il écrit dans Le Journal d’agriculture pratique et de jardinage. En 1844, avec Jacques-Alexandre Bixio, il reprend La Maison rustique du XIXe siècle à laquelle il collaborait par ailleurs. Cette même année, il est élu secrétaire-général du Cercle général d’horticulture [39]. Il est rédacteur de Le Jardin et la ferme [40]]. Au cours de l’année 1846, il cesse de tenir la rubrique horticole du Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique [41]. Il dirige durant une douzaine d’années en Belgique La Sentinelle des campagnes et un journal populaire, le Packeter ou le Fermier. Il est un des principaux rédacteurs de La Revue villageoise. Il participe comme agronome au Congrès agricole de Belgique de 1848 réuni à Bruxelles du 21 au 24 septembre 1848 [42]. Un débat s’engage autour des courses de chevaux lors du Congrès. « Ysabeau y prend part. Il regrette que l’argent du budget serve à alimenter le turf, qui n’est au fond qu’un tapis vert avec ses chances aléatoires et ses gageures. Les amateurs de ce genre de jeu sauront très bien le continuer sans intervention de l’État, dont les fonds recevront une destination beaucoup plus utile à l’amélioration des races équestres. » [43]. Il y milite pour l’enseignement agricole. S’il se rallie à une motion favorisant l’« éducation agricole des enfants des familles pauvres des campagnes », il réclame « pour mettre la production en harmonie avec le chiffre de la population, avec les exigences de la consommation, [...] le concours des grands propriétaires ; c’est aux classes riches, car richesse oblige, qu’il faut donner un enseignement supérieur en matière agricole, qui leur permettra à elles, qui ont le capital et le temps, de prendre l’initiative des progrès réclamés par l’agriculture, et de réagir sur les petits cultivateurs » [44]. Il dépose « un amendement relatif à la priorité à donner à l’enseignement supérieur agricole sur l’enseignement primaire » [45].

De 1848 à 1850, il propose plusieurs des volumes de la bibliothèque agricole de L’Encyclopédie populaire, publiée sous le patronage du roi des Belges. De 1849 à 1852, professeur d’histoire naturelle, il est rédacteur du Journal d’horticulture pratique de la Belgique ou Guide des amateurs et jardiniers [46]. A partir de 1852, il dirige un recueil agricole, La Ferme et le Jardin [47] pour la Société pour l’émancipation intellectuelle. Ysabeau défend l’enseignement agricole et la vulgarisation des ouvrages agronomiques.
Ysabeau est pleinement intégré à la société bruxelloise et n’hésite pas à condamner les brutalités policières [48]. « Elle est faite pour servir le public qui la paie » écrit-il dans un courrier au journal La Nation [49].

En 1864, une critique de l’ouvrage, Le père Éloi ou les causeries d’un vieux laboureur sur l’agriculture et l’histoire naturelle, livre de lecture pour les écoles, dépeint la démarche pédagogique d’Ysabeau, fondée sur l’expérience pratique :

On a dit avec raison "La science ne devient tout à fait utile qu’en devenant vulgaire". C’est ce qu’a compris un habile agronome M. A. Ysabeau qui fait pour les écoles ce qu’ont tenté pour les classes populaires MM. Barral , Joigneaux, Victor Borie, etc. Ces savants distingués veulent placer la science à la portée de tout le monde et ne voient pas la nécessité de mettre la lumière sous le boisseau. Nous avons rendu compte de deux excellents ouvrages de M. Ysabeau : les Leçons élémentaires d’agriculture et d’horticulture, rédigées d’après les programmes officiels pour l’usage des élèves des écoles normales et des écoles professionnelles. Tous deux, nous en avions l’intime conviction, ont eu depuis les honneurs de plusieurs éditions. Ainsi que nous le disions alors, l’auteur n’est pas un de ces nouveaux Triptolème, dont Voltaire s’est moqué avec tant d’esprit, un de ces laboureurs élégants "qui se forment des principes d’agriculture à l’Opéra et à la Comédie." Il a cultivé longtemps en Belgique et dans plusieurs de nos départements, et il a joint aux résultats de son expérience la lecture critique des agronomes français et étrangers. En un mot comme il l’a dit lui-même : "Il ne retrace que ce qu’il a pratiqué". Aujourd’hui M. Ysabeau, changeant sa forme, tout en conservant son excellent fond, nous donne un charmant livre qui, malgré son titre modeste, sera lu par tous ceux qui s’intéressent aux sciences agricoles […]. Ce petit ouvrage est complet et instructif. Il y a plus : les personnes étrangères aux questions qu’il traite ne le liront pas moins avec plaisir et profit M. Ysabeau, nous le répétons, n’est pas seulement un excellent agronome ; c’est un charmant conteur, qui sait rendre la science agréable ; rare et précieuse qualité. Nous ne doutons pas que les Causeries du Père Éloi n’obtiennent en peu de temps le même succès que les travaux précédents du même auteur. Cet ouvrage convient particulièrement comme livre de lecture courante dans les écoles de campagne ; il a sa place marquée dans toute bibliothèque scolaire. [50]

Collaborateur de La Démocratie pacifique

C’est au cours des années 1840 qu’il devient actif au sein de l’École sociétaire même si ces liens avec le mouvement phalanstérien sont probablement plus anciens si on se réfère à sa proximité avec la famille Fourdrin. En 1843, il est cité parmi les collaborateurs de La Démocratie pacifique. Dès août, il traite de sujet relevant des « questions industrielles et commerciales » ou bien de « questions agricoles » [51]. Il alimente en particulier le « Feuilleton de La Démocratie pacifique » avec des articles sur l’horticulture repris dans l’Almanach phalanstérien [52] ou bien en reprenant les cours d’Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire. Son nom disparaît de la liste des collaborateurs dans la table du second semestre 1846, période à laquelle il cesse également de tenir la rubrique horticole du Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique. Ceci s’explique par le choix de retourner en Belgique [53].
Son activité au sein de La Démocratie pacifique est-elle une pleine adhésion aux principes de l’École sociétaire ou bien illustre-elle sa fièvre rédactionnelle ? Ses centres d’intérêts (jardinage, horticulture, arboriculture,…) – faut-il y voir une communion avec les propos de Fourier sur les vergers et l’horticulture ? – intéressent cependant l’École sociétaire et ses membres [54]. « Les feuilletons de Toussenel sont aimés, mais ceux d’Ysabeau, moins passionnants, vont à plus de monde » [55]. Son discours est effectivement convenu :

La fille du laboureur va, nu-pieds dans la boue, garder sa vache ou ses pourceaux ; elle ne passe point à côté d’une fleur sauvage sans la cueillir, sans en essayer l’effet à son corsage ou dans ses cheveux. De tous les ornements naturels qui peuvent rehausser la beauté d’une femme, il n’en est pas qui vaille une parure de fleurs. [56]

Néanmoins, il n’en développe pas moins un discours où le jardinage offre un rapport épanouissant et esthétique, à la nature :

Nous félicitons les dames françaises, surtout les Parisiennes, de l’élan qu’elles donnent à la culture des fleurs […]. Une jardinière, ce meuble inconnu de la génération précédente, fait aujourd’hui partie obligée de l’ameublement du boudoir d’une jolie femme. [57]

Par ailleurs, l’attrait affirmé de Charles Fourier pour la consommation des fruits [58] transparaît dans les propos d’Ysabeau :

Nous avons à entretenir aujourd’hui nos lecteurs de cette partie des produits de l’horticulture que le public est accoutumé à considérer comme le plus directement utile ; nous voulons parler des fruits, si chers aux enfants et aux gastronomes de tous les pays. Ce n’est pas qu’à nos yeux les fleurs soient moins importantes que les fruits, moins véritablement utiles : le jour où les fleurs et les fruits seront à l’usage de tout le monde, le jour où ils seront classés ensemble parmi les choses indispensables, dont on ne doit se passer, la société aura fait un pas de géant […]. [59]

La culture des arbres fruitiers est d’ailleurs synonyme de travail attrayant :

Parcourez les rues de Montreuil un jour de repos. Vous vous étonnez de ne rencontrer que de jolis et frais visages ; ces jeunes femmes belles, bonnes et sages, qui font l’orgueil de Montreuil entre toutes les communes de la banlieue, méritent leur réputation ; il en est qui savent gouverner un espalier aussi bien et mieux que leurs pères ou leurs maris. D’où vient cela ? d’un seul fait : d’un travail agréable, intelligent et suffisamment lucratif. Or, nous ne pouvons trop le répéter, ce fait produirait partout les mêmes résultats, et, nous en avons l’ultime conviction, cela n’est impossible nulle part. […] A Thomery, les femmes occupées de la culture des treilles sont incomparablement plus belles, plus sages, plus intelligentes, meilleures, sous tous les rapports, que la population féminine des villages voisins, livrée comme partout, à des travaux excessifs, abrutissants et trop peu rétribués. [60]

Son retour en Belgique semble être lié au développement phalanstérien. Au printemps 1846, il est parmi les collaborateurs de deux périodiques, tout d’abord, Le Débat social, organe repris par une société rassemblant à la fois des actionnaires de sensibilité libérale et d’autres sympathisants fouriéristes, puis la Revue démocratique, un organe d’orientation libérale et démocratique, dont la volonté est de « radicaliser le libéralisme » [61]. Il semble s’éloigner peu à peu du mouvement phalanstérien.

Malgré cette abondante production, « sa vie n’a pas été heureuse, car malgré son travail assidu il obtenait à peine des libraires qui l’exploitaient le salaire nécessaire à l’existence de sa nombreuse famille » [62]. Ses travaux sur le jardinage sont de nouveau édités depuis 2021.
Il est inhumé au cimetière parisien d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne) [63].


Jean-Claude Sosnowski

Dernière mise à jour de cette fiche : mai 2023

Notes

[1Et non le 14 mars 1793 comme le répètent ses différents biographes. Aucun Ysabeau n’est né à Rouen en 1793 d’après les tables alphabétiques annuelles en fin de chacun des registres d’état civil accessibles en ligne sur le site des Archives départementales de Seine-Maritime. Le mariage de ses parents date de 1795 et l’année de son décès nous conduit à une naissance en 1800. Néanmoins, dans un article publié dans le Journal de la viticulture pratique, tome III, 25 septembre 1867- 10 septembre 1868, p. 316, Ysabeau prétend être « plus que septuagénaire ». Rien pourtant ne permet de noter une confusion entre deux individus.

[2Archives départementales de Seine-Maritime, état civil de Rouen, 4 E 2262, acte de naissance n° 1365 de (Victor-Frédéric-) Alexandre Ysabeau du 24 ventôse an VIII.

[3Archives de Paris, V10E12 Table des mariages et des divorces célébrés à Paris de 1793 à 1802, TIS-Z.

[4Eugène Welvert, Lendemains révolutionnaires : les régicides, Paris, C. Lévy, 1907, p. 397.

[5Le Progrès : Journal de l’éducation populaire publié par la Société centrale des instituteurs belges, 4e année, 1864, Bruxelles, veuve Parent et fils, 1864, p. 209-210.

[6Le faisant naître en 1793, ses biographes placent cette formation avant son retour à Paris en 1813. Ils font de lui le médecin en chef du quartier Popincourt à Paris en 1832 qui s’illustre lors de l’épidémie de choléra. Le Moniteur universel du 18 mars 1833 donne la liste des récipiendaires de « la médaille décernée à l’occasion du choléra », récompense offerte par le gouvernement pour le dévouement des soignants. Il s’agit d’Alexis-François-Victor Ysabeau médecin dans le 8e arrondissement de Paris qui est récompensé et non de Victor-Frédéric Alexandre Ysabeau. Le seul ouvrage à caractère médical publié, Le Médecin de la famille, guide médical comprenant l’exposé de tous les soins nécessaires à la conservation de la santé, depuis la naissance jusqu’aux limites extrêmes de la longévité humaine, Paris, Garnier, 1860 (réédité sous le titre Le Médecin du foyer, contenant l’exposé de tous les soins nécessaires à la conservation de la santé, depuis la naissance jusqu’aux limites extrêmes de la longévité humaine, Paris, Garnier frères, 1877 (rééd. 1891), fait avant tout référence à ses fonctions d’ancien professeur d’histoire naturelle à l’École centrale de Bruxelles, même si son nom est suivi de la mention « D.M.L.B. », rappelant probablement sa formation médicale.

[7« Charles Auguste Fourdrin », en ligne sur Geneanet.

[8Michel Antony, « Quelques remarques sur le fouriérisme et l’éducation libertaire », Cahiers Charles Fourier, 2009 / n° 20, en ligne : http://www.charlesfourier.fr/spip.php?article719 (consulté le 22 juillet 2022).

[9« À Charles Fourdrin », Victor Hennequin, Voyage en Angleterre et en Écosse, suivi de Mélanges, Paris, Librairie sociétaire, 1844, p. 406-408.

[10Journal de Bruxelles, 7 juillet 1874, p. 1.

[11« Nécrologie », Le Politique, 11 mai 1833, p. 3.

[12Le Politique, 17 juin 1833, p. 3.

[13L’Indépendance belge, 31 décembre 1834, p. 3.

[14L’Indépendance belge, 23 février 1836, p. 4.

[15Revue belge, publiée par l’Association nationale pour l’encouragement et le développement de la littérature en Belgique, tome premier, Liège, Jeunehomme frères, 1835, p. (395).

[16Renier Malherbe, Société libre d’émulation de Liège, Liber memorialis, 1779-1879, Liège, Léon de Thier, 1879, p. 156-157 ; Almanach royal du commerce de Belgique, … pour l’an 1838, Bruxelles, Balleroy, 1838, p. 528.

[17L’Indépendance belge, 14 juillet 1835, p. 3.

[18Son nom disparaît de la presse belge jusqu’en 1846, où paraît un article d’« Horticulture » dans le Journal de Belgique du 15 avril 1846, p. 3.

[19Selon la nécrologie publiée dans le Journal de l’agriculture, de la ferme et des maisons de campagne, de l’horticulture, de l’économie rurale et des intérêts de la propriété, année 1873, tome 2, avril à juin, Paris, au bureau du Journal de l’agriculture, 1873, p. 244.

[20Archives de Paris, état civil reconstitué, 5Mi1 432 acte de naissance d’Alexandrine Adrienne Ysabeau du 1er juillet 1836.

[21Archives de Paris, état civil reconstitué, V3E/N 2255, fichier des naissances, fiche d’Alexandre Victor Émile Ysabeau, 8 août 1837. Archives de Paris, V4E 4259, état civil de Paris (13e arrondissement), registre des décès, acte de décès d’Alexandre Victor Frédéric Ysabeau, n° 673 du 21 avril 1873.

[22Archives départementales de Loire-Atlantique, état civil de Sainte-Reine-de-Bretagne, acte de naissance n° 6 de Victor Henry Joseph Ysabeau du 29 mai 1839.

[23Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, tome 3, n° 11, mai 1840, p. 508.

[24Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, tome 4, juillet 1840-juin 1841, p. 79.

[25Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, tome 4, juillet 1840-juin 1841, p. 491. Il existe aujourd’hui un domaine de ce nom à La Londe-les-Maures.

[26Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, tome 6, juillet 1842-juin 1843, p. 13 et 568.

[27Journal de la viticulture pratique, tome III, 25 septembre 1867- 10 septembre 1868, p. 316.

[28Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, 2e série, tome 1, juillet 1843-juin 1844, p. 37.

[29Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, 2e série, tome 2, juillet 1844-juin 1845, Paris, au bureau de la Maison rustique, 1845, p. 35 et 385.

[30Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, 2e série, tome 3, juillet 1845-juin 1846, Paris, au bureau de la Maison rustique, 1845, p. 138. Il reprendra temporairement la rubrique en mai 1852 (Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, 3e série, tome 4, janvier-juin 1852, Paris, au bureau de la Maison rustique, 1852, p. 512.

[31Journal d’horticulture pratique de la Belgique ou Guide des amateurs et jardiniers, 7e année, F. Parent, 1850.

[32L’Indépendance belge, 16 août 1846, p. 6.

[33« Cours d’histoire naturelle », Journal de Belgique, 24 avril 1847, p. 3.

[34L’Indépendance belge, 1er mai 1847, p. 2.

[35Journal de Belgique, 26 novembre 1847, p. 3.

[36Perspective pratique, comprenant la perspective linéaire et aérienne, et les notions du dessin linéaire, à l’usage des ouvriers, Paris, De Malher, 1827, Bibliothèque industrielle. Sciences ; Guide-manuel de l’épicier-droguiste, contenant par ordre alphabétique les substances simples et composées, les diverses préparations qui sont du ressort de l’épicier-droguiste et la composition des couleurs et vernis, Paris, De Malher, 1827, Bibliothèque industrielle. Arts et Métiers.

[37L’Aiguillon, chansonnier nouveau, dédié aux gueux, Paris, Verney, 1832, 267 p. Achille Chéreau, Le Parnasse médical français, ou Dictionnaire des médecins poètes de la France : anciens ou modernes, morts ou vivants…, Paris, Delahaye, 1874, p. 537-538 cite une édition de 1831 ; Jules Roger (qui reprend Chéreau), Les médecins normands du XIIe au XIXe siècle : Biographie et bibliographie. [Tome 1], Seine-Inférieure, Paris, G. Steinheil, 1890, p. 152-155 cite une édition de 1834.

[38Repris par Achille Chéreau, opus cité, p. 357-358 et Jules Roger, opus cité, p. 153.

[39La Démocratie pacifique, 26 mai 1844, « Faits divers ».

[40La Démocratie pacifique, 20 janvier 1845, p. 3, « Les camellias ».

[41Journal d’agriculture pratique de jardinage et d’économie domestique, 2e série, tome 3, juillet 1845-juin 1846, p. 287.

[42Congrès agricole de Belgique de 1848 réuni à Bruxelles le 21, 22, 23, 24 septembre 1848, Bruxelles, Deltombe 1848, p. XXIV, « Liste des personnes qui, sans mandat spécial, ont assisté au congrès agricole ».

[43« Congrès agricole », Journal de Belgique, 24 septembre 1848, p. 3.

[44« Congrès agricole. Séance du 24 septembre », Journal de Belgique, 25 septembre 1848, p. 3.

[45Ibidem.

[46Journal d’horticulture pratique de la Belgique ou Guide des amateurs et jardiniers, 7e année, F. Parent, 1850 ; Catalogue général de la BNF.

[47Le Messager de Gand, 25 janvier 1852, p. 1.

[48La Nation,1er juin 1849, p. 1. Il réside alors 246 Chemin de la forêt, à Saint-Gilles dans la banlieue de Bruxelles.

[49La Nation, 16 août 1858, p. 1.

[50Le Progrès : Journal de l’éducation populaire publié par la Société centrale des instituteurs belges, 4e année, 1864, Bruxelles, veuve Parent et fils, 1864, p. 209-210.

[51« Table des matières contenues dans le tome I de La Démocratie pacifique (Du 1er août au 31 décembre 1843) », Supplément de La Démocratie pacifique du 20 juin 1844.

[52Almanach phalanstérien pour l’année 1845, Paris, Librairie sociétaire, 1844, « Horticulture », p. 240-245, « Taille et conduite du pêcher », p. 245-247. Almanach phalanstérien pour l’année 1846, Paris, Librairie sociétaire, 1845, « Horticulture », p. 119-132.

[53Journal d’horticulture pratique de la Belgique ou Guide des amateurs et jardiniers, 7e année, F. Parent, 1850.

[54Archives nationales, Fonds Fourier et Considerant, Archives sociétaires, 10AS37(2) (681Mi59), rapport de Cantagrel à Allyre Bureau, de Dijon le 5 novembre 1844 ; de Lons-le-Saulnier, le 15 novembre 1844.

[55Archives nationales, Fonds Fourier et Considerant, Archives sociétaires, 10AS37(2) (681Mi59), rapport de Cantagrel à Allyre Bureau, de Hyères, le 3 décembre 1844.

[56« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 28, 28 août 1843, p. 1-2.

[57Ibidem.

[58Oeuvres complètes de Charles Fourier, tome X, manuscrits publiés par La Phalange, revue de la Science sociale, 1851-1852, volumes I-II, Paris, Anthropos, 1967, pp. 159-161 (en ligne sur Gallica).

[59« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 70, 9 octobre 1843, p. 1-2.

[60Ibidem.

[61John Bartier, Fourier en Belgique, édité et présenté par Francis Sartorius, Bruxelles, Bibliothèque de l’université libre de Bruxelles, Tusson, éditions du Lérot, 2005, p. 105 et 135. Renseignements fournis par Bernard Desmars

[62Journal de l’agriculture, de la ferme et des maisons de campagne, de l’horticulture, de l’économie rurale et des intérêts de la propriété, année 1873, tome 2, avril à juin, Paris, au bureau du Journal de l’agriculture, 1873, p. 244.

[63Archives de Paris, IVR_RJ18731873_01, Registres journaliers d’inhumation du cimetière parisien d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), 25/03/1873 – 22/04/1873.


Ressources

Œuvres

1843
« Fraudes commerciales – Empoisonnement public », La Démocratie pacifique n° 7, 7 août 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Perception de l’octroi sur la viande », La Démocratie pacifique, n° 7, 7 août 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Bulletin agricole », La Démocratie pacifique, n° 11, 11 août 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Chemins de fer de Rouen - Abus », La Démocratie pacifique, n° 14, 14 août 1843, p. 2 (en ligne sur Gallica).
« Nomination d’un professeur d’agriculture à Alfort », La Démocratie pacifique, n° 15, 15 août 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Abus criant de l’octroi », La Démocratie pacifique, n° 16, 16 août 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Bulletin agricole », La Démocratie pacifique, n° 17, 17 août 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Assurance pour tuer les gens impunément », La Démocratie pacifique, n° 17, 17 août 1843, p. 3 (en ligne sur Gallica).
« Bulletin agricole », La Démocratie pacifique, n° 19, 10 août 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Bulletin de La Démocratie pacifique : François Chevrier, lauréat du grand concours », La Démocratie pacifique, n° 21, 21 août 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Situation agricole », La Démocratie pacifique, n° 22, 22 août 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 28, 28 août 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« De la propriété dans ses rapports avec l’agriculture », La Démocratie pacifique, n° 32, 1er septembre 1843 (en ligne sur Gallica), n° 34, 3 septembre 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica), n° 36, 5 septembre 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Bulletin agricole », La Démocratie pacifique, n° 35, 4 septembre 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
Avec Charles Pellarin, « Les bureaux de nourrices », La Démocratie pacifique, n° 38, 7 septembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« De l’enseignement agricole dans les villes », La Démocratie pacifique, n° 41, 10 septembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Du défrichement des terres incultes », La Démocratie pacifique, n° 47, 16 septembre 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica, n° 49, 18 septembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica), et n° 58, 27 septembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Exercice de l’art de guérir », La Démocratie pacifique, n° 54, 23 septembre 1843, p. 2 (en ligne sur Gallica).
« Chimie agricole », La Démocratie pacifique, n° 63, 2 octobre 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 70, 9 octobre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Fraudes commerciales : [Vins falsifiés] », La Démocratie pacifique, n° 80, 19 octobre 1843, p. 2 (en ligne sur Gallica).
« Spolpoliva du chanoine Stancowich », La Démocratie pacifique, n° 81, 20 octobre 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 82, 22 octobre 1843, p. 1-2 (en ligne sur [Gallica-https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4768588p]).
« Agriculture. Commerce des farines à la halle de Paris », La Démocratie pacifique, n° 88, 27 octobre 1843, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Affaire des vins falsifiés », La Démocratie pacifique, n° 99, 7 novembre 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Chemin de fer belge-prussien », La Démocratie pacifique, n° 102, 10 novembre 1843, p. 3 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 104, 12 novembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Le paupérisme et la question sociale en Belgique », La Démocratie pacifique, n° 108, 16 novembre 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours d’ornithologie de M. Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire », La Démocratie pacifique, n° 111, 19 novembre 1843 (en ligne sur Gallica), n° 123, 1er décembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica), n° 136, 14 décembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 118, 26 novembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 129, 7 décembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Du recrutement de l’armée », La Démocratie pacifique, n° 144, 22 décembre 1843, p. 1 (en ligne sur Gallica).https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4768616j
« Des aérostats », La Démocratie pacifique, n° 148, 26 décembre 1843, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours d’ornithologie de M. Geoffroy-Saint-Hilaire », La Démocratie pacifique, n° 2, 2 janvier 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica), n° 23, 23 janvier 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica), n° 43, 12 février 1844, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 9, 9 janvier 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 37, 6 février 1844, p. 1-2 (en ligne sru Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 56, 25 février 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Paris vu de la rue », La Démocratie pacifique, n° 63, 3 mars 1844, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 78, 18 mars 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Du fonds d’agriculture dans les Pays-Bas », La Démocratie pacifique, n° 81, 21 mars 1844, p. 1 (en ligne sur Gallica).
« Séance de la Chambre. Loi sur le recrutement », La Démocratie pacifique, n° 81, 21 mars 1844, p. 1 (en ligne sur Gallica), « Séance de la Chambre. Suite de la discussion sur la loi de recrutement », n° 82, 22 mars 1844, p. 1 (en ligne sur Gallica), n° 83, 23 mars 1844, p. 2 (en ligne sur Gallica), n° 86, 26 mars 1844, p. 1 (en ligne sur Gallica), et n° 87, 27 mars 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Cercle général d’horticulture. Exposition des produits d’horticulture », La Démocratie pacifique, n° 84, 24 mars 1844, p. 3 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 85, 25 mars 1844, p. 1-3 (en ligne sur Gallica).
« Belgique. Résultats de la session », La Démocratie pacifique, n° 97, 6 avril 1844, p. 2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 50, 19 août 1844, p. 1-3 (en ligne sur Gallica).
« Variétés. Guano d’Afrique : île d’Itchaboë », La Démocratie pacifique, n° 52, 21 août 1844, p. 4 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 67, 5 septembre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 86, 24 septembre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de zoologie par M. Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire », La Démocratie pacifique, n° 114, 22 octobre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de M. Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire. Histoire des mammifères », La Démocratie pacifique, n° 122, 30 octobre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de M. Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire. Histoire naturelle des mammifères », La Démocratie pacifique, n° 130, 7 novembre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de M. Geoffroy-Saint-Hilaire. Histoire naturelle des mammifères », La Démocratie pacifique, n° 155, 2 décembre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de M. Geoffroy-Saint-Hilaire. Histoire naturelle des mammifères », La Démocratie pacifique, n° 168, 15 décembre 1844, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de M. Geoffroy-Saint-Hilaire. Histoire naturelle des mammifères », La Démocratie pacifique, n° 18, 18 janvier 1845, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Cours de M. J. Geoffroy-Saint-Hilaire. Histoire naturelle des mammifères », La Démocratie pacifique, n° 41, 10 février 1845, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 77, 18 mars 1845, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Exposition des produits de l’horticulture », La Démocratie pacifique, n° 119, 29 avril 1845, p. 3-4 (en ligne sur Gallica).
« Chronique agricole. Exposition d’horticulture », La Démocratie pacifique, n° 10, 10 juillet 1845, p. 3 (en ligne sur Gallica).
« Exposition des produits de l’horticulture », La Démocratie pacifique, n° 16, 16 juillet 1845, p. 5-6 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 77, 15 septembre 1845, p. 1-2 (en ligne sur Gallica), n° 92, 30 septembre 1845, p. 1-2 (en ligne sur Gallica).
« Défrichement des landes », La Démocratie pacifique, n° 90, 28 septembre 1845, p. 3 (en ligne sur Gallica).
« Feuilleton de La Démocratie pacifique. Horticulture », La Démocratie pacifique, n° 83, 24 mars 1846, p. 1-3 (en ligne sur Gallica).
Contribue au Radical, journal de la démocratie et des intérêts populaires en Belgique dont le 1er numéro paraît le 16 avril 1837.
Contribue à Le Débat social et à la Revue démocratique en 1846.
Contribue à la Maison rustique du XIXe siècle : encyclopédie d’agriculture pratique contenant les meilleures méthodes de culture usitées en France et à l’étranger…, Paris, 1835-1844 ; Paris, Dusacq, 1854-1855 (en ligne sur Gallica).
Contribue de février 1840 à mai 1852 au Journal d’agriculture pratique et de jardinage, Librairie de la Maison rustique du XIXe siècle.
Dirige La Sentinelle des campagnes.
Contribue au Packeter ou le Fermier.
Dirige La Revue villageoise.
Rédacteur de Le Jardin et la ferme, journal d’horticulture, d’agriculture et d’économie domestique, 1ère année, 1844-1845.
Dirige avec Bixio, l’Almanach du jardinier, 1ère année, 1844- 3ème année, 1846, Paris, Pagnerre, 1843-1845.
Rédacteur du Journal d’horticulture pratique de la Belgique ou Guide des amateurs et jardiniers, 1849-1852.
Rédacteur du Messager de la charité, Paris, n° 1 (mars 1854) – n° 191 (octobre 1857).
Collaborateur du Magasin catholique illustré en 1857.
Collaborateur du Journal des Jeunes personnes de Julie Gouraud en 1860.
Collaborateur en 1864 au Messager de la semaine patronné par le vicomte de Melun.

Perspective pratique, comprenant la perspective linéaire et aérienne, et les notions du dessin linéaire, à l’usage des ouvriers, Paris, De Malher, 1827, Bibliothèque industrielle. Sciences (en ligne sur Google livres).
Guide-manuel de l’épicier-droguiste, contenant par ordre alphabétique les substances simples et composées, les diverses préparations qui sont du ressort de l’épicier-droguiste et la composition des couleurs et vernis, Paris, De Malher, 1827, Bibliothèque industrielle. Arts et Métiers.
L’Aiguillon, chansonnier nouveau dédié, aux gueux, Paris, Verney-A. Levasseur, 1832.
Entretiens sur la minéralurgie, dans Maître Pierre, ou Le savant de village, Paris-Strasbourg, F.-G. Levrault, 1837, Bibliothèque d’instruction populaire, n° 34.
Contes pour l’enfance, Paris, Levrault, 1838.
Rapport fait à la Société royale d’horticulture, le 19 juin 1844, par la commission chargée de visiter la collection de camellia de M. l’abbé Berlèse, Paris, Vve Bouchard-Huzard, 1844, Extrait des Annales de la Société royale d’horticulture de Paris, tome XXXV, livraison 201, août 1844 (en ligne sur Gallica).
Traité des arbres fruitiers, Bruxelles, A. Jamar, [1851], Encyclopédie populaire.
Traité des opérations agricoles, Bruxelles, A. Jamar, [1852], Encyclopédie populaire. 8e série, Agriculture.
Traité de la culture des plantes fourragères et industrielles, Bruxelles, A. Jamar, [1852], Encyclopédie populaire.
Léonard Wray, Manuel pratique du planteur de canne à sucre : exposé complet de la culture de la canne à sucre et de la fabrication du sucre de canne selon les procédés les plus récents et les plus perfectionnés, traduit par Ysabeau…, Paris, Dusacq, 1853.
Traité des engrais et amendements, Bruxelles, A. Jamar, [1853], Encyclopédie populaire. 8e série, Agriculture.
Traité de l’élève et de l’engraissement du bétail, Bruxelles, A. Jamar, [1854], Encyclopédie populaire. 8e série, Agriculture.
Le Jardinage, ou l’Art de créer et de bien tenir un jardin, Paris, L. Hachette, 1854, Bibliothèque des chemins de fer. 5e série, Sciences, agriculture et industrie (en ligne sur Gallica ; Paris, L. Hachette, 1855 (en ligne sur Gallica).
Leçons élémentaires d’agriculture, rédigées d’après les programmes officiels de l’enseignement primaire, à l’usage des écoles normales, des écoles primaires supérieures et des écoles professionnelles,…, Paris, J. Delalain frères, 1857 ; 2e éd., Paris, J. Delalain, 1861 ; 8e éd., Delalain frères, 1878 (en ligne sur Gallica).
De la vigne et des arbres fruitiers, Paris, Victor Poullet, 1858, Bibliothèque des familles et des paroisses (en ligne sur Gallica).
Collabore au Dictionnaire universel théorique et pratique du commerce et de la navigation en 1858.
William Trotter, Traité complet de l’élève et de l’engraissement des oiseaux de basse-cour et des lapins, trad. de l’anglais par A. Ysabeau, Bruxelles, A. Jamar, [185.], Encyclopédie populaire. 8e série, Agriculture. (Seule la première partie est une traduction du mémoire de William Trotter "Essay on the rearing and management of poultry", paru dans The Journal of the Royal Agricultural Society of England, XII, 1851, p. 161-202, la suite est l’œuvre d’Ysabeau).
De la basse-cour : traité complet de l’élève et de l’engraissement des animaux de basse-cour, Paris, V. Poullet, 1858, Bibliothèque des familles et des paroisses. Série agricole (en ligne sur Gallica).
Des bêtes ovines et des chèvres, Paris, V. Poullet, 1858, Bibliothèque des familles et des paroisses. Série agricole (en ligne sur Gallica).
Des instruments aratoires et des travaux des champs, Paris, Victor Poullet, 1858, Bibliothèque des familles et des paroisses (en ligne sur Gallica).
La Ferme et le presbytère, Paris, C. Dillet, 1859 (en ligne sur Gallica).
Le Jardinier de tout le monde : traité complet de toutes les branches de l’horticulture, ouvrage nécessaire aux jardiniers et aux amateurs de jardinage, contenant tous les détails relatifs au jardin potager, fruitier et fleuriste…, Paris, Garnier frères, [1859] ; Paris, Garnier frères, [1872] (en ligne sur Gallica).
Entretiens familiers d’un instituteur avec ses élèves sur les insectes nuisibles, Paris, Dezobry, E. Magdeleine et Cie, 1860 (en ligne sur Gallica.
Le Jardinier des salons, ou l’Art de cultiver les fleurs dans les appartements, sur les croisées et sur les balcons, 2e éd., Paris, J. Taride, 1860, Bibliothèque des salons ; 3e éd., 1870 ; 4e éd., 1875 (en ligne sur Gallica).
Le Médecin de la famille, guide médical comprenant l’exposé de tous les soins nécessaires à la conservation de la santé, depuis la naissance jusqu’aux limites extrêmes de la longévité humaine, Paris, Garnier, 1860 (en ligne sur Google livres ; (réédité sous le titre) Le Médecin du foyer, contenant l’exposé de tous les soins nécessaires à la conservation de la santé, depuis la naissance jusqu’aux limites extrêmes de la longévité humaine, Paris, Garnier frères, 1877 ; Paris, Garnier frères, 1891 (en ligne sur Gallica).
Conseils d’économie domestique, Paris, N.-J. Philippart, (1861).
Histoire de l’Allemagne, Paris, N.-J. Philippart, (1861)
Traité d’hygiène, Paris, N.-J. Philippart, 1861 (en ligne sur Gallica) ; Paris, N.-J. Philippart, 1863 (en ligne sur Gallica).
Plantes alimentaires et plantes fourragères, Paris, Paul Dupont, 1861, La Science des campagnes (en ligne sur Gallica).
Instruments agricoles, labours, semailles, fenaison, moisson, Paris, 1861, Paul Dupont, La Science des campagnes (en ligne sur Gallica).
Physiognomonie et phrénologie, rendues intelligibles pour tout le monde… : Lavater et Gall, Paris, Garnier frères, 1862 ; Paris, Garnier frères, 1878 (en ligne sur Gallica) ; nouv. éd., 1909 (en ligne sur Gallica).
Cours d’agriculture pratique publié par une Société d’agronomes, Paris, P. Dupont, 1861-1862, Bibliothèque des campagnes ; 4e éd., Paris, P. Dupont, 1876, partie 1 (en ligne sur Gallica), partie 2 (en ligne sur Gallica) ; 5e éd., Paris : P. Dupont, 1880-1881.
Végétaux cultivés : plantes industrielles, Paris, P. Dupont, 1862, La Science des campagnes (en ligne sur Gallica).
Petit code pratique du cultivateur, comprenant des notions sur le droit usuel, la police rurale et le commerce des denrées agricoles, suivies de modèles et formules pour actes sous seings privés et réclamations administratives, Paris, P. Dupont, (1863), Bibliothèque des campagnes. La science des campagnes.
Almanach du village pour 1864 suivi d’un traité de comptabilité agricole avec modèles et formules, 2e année, Paris, Collignon, Paul Dupont, 1863 (en ligne sur Gallica).
Histoire naturelle populaire de la France, Paris, A. Le Clere, C. Dillet, 1863 (en ligne sur Gallica) ; Paris, A. Le Clere, H. Le Clere, Reichel et Cie, 1864.
Le Jardin potager : notions pratiques de culture maraîchère, Paris, P. Dupont, 1863, La science des campagnes (en ligne sur Gallica).
Almanach du village pour 1864 suivi d’un traité de comptabilité agricole avec modèles et formules, 2e année, Paris, Collignon, Paul Dupont, 1863 (en ligne sur Gallica).
Comptabilité agricole simplifiée avec modèles et formules, Paris, P. Dupont, 1863, La science des campagnes (en ligne sur Gallica).
Histoire naturelle élémentaire, Paris : bureaux de la publication, 1865, L’École mutuelle : cours complet d’éducation populaire (en ligne sur Gallica).
Hygiène et économie domestique, Paris, A. Le Clere, 1864, Bibliothèque choisie du Messager de la semaine.
Les bons conseils de M. le Maire sur la police rurale, le droit rural, le droit usuel et les rapports des habitants des campagnes entre eux et avec l’autorité, Paris, P. Dupont, 1865 (en ligne sur Gallica).
Leçons élémentaires d’horticulture : rédigées d’après les programmes officiels de l’enseignement primaire, à l’usage des écoles normales, des écoles primaires supérieures et des écoles professionnelles, Paris, J. Delalain et fils, 1862, 2e éd. ; 1865, 3e éd. ; 1867, 4e éd. (en ligne sur Gallica) ;1874, 5e éd. ; 1881, 6e éd.
Le Père Éloi ou Les causeries d’un vieux laboureur sur l’agriculture et l’histoire naturelle, Paris, J. Delalain, 1864 (en ligne sur Gallica).
Histoire naturelle élémentaire, Paris, bureaux de la publication, 1865, fig. gr. par Émile Ysabeau, L’École mutuelle : cours complet d’éducation populaire (en ligne sur Gallica).
Industries rattachées à l’agriculture. Meunerie, féculerie, distillerie, sucrerie, etc., Paris, P. Dupont, 1866, La Science des campagnes.
Cours de législation civile, industrielle et commerciale, à l’usage des élèves de l’enseignement spécial, Paris, J. Delalain et fils, 1866.
Hygiène de l’homme et des animaux domestiques, Paris, aux bureaux de la publication, 1866, 2e éd., L’École mutuelle : cours complet d’éducation populaire ; 10.
Botanique élémentaire, Paris, Bureau de la publication, 1866, 191 p. et fig. gr. par Émile Ysabeau, L’École mutuelle, cours complet d’éducation populaire (en ligne sur Gallica).
Cours d’économie rurale, industrielle et commerciale, rédigé d’après les programmes officiels de l’enseignement secondaire spécial, Paris, J. Delalain et fils, 1868.
Connaissance et description botanique des plantes usuelles utiles ou nuisibles à divers titres, Paris, Paul Dupont, 1870 ; 1878 (en ligne sur Gallica) ; (s.d.), 4e éd.
Nouveau traité pratique du jardinage, comprenant 1° : la culture maraîchère, les primeurs et les plantes potagères... 2° : la plantation, la taille... des arbres fruitiers, 3° : la culture des plantes d’ornement, de pleine terre…, Paris, Garnier frères, 1878 (en ligne sur Gallica).
L’Art de jardiner les fleurs à l’ancienne, Paris, Espaces & signes, 2021 (tiré de Le Jardinage, ou l’Art de créer et de bien tenir un jardin, Paris, Paris, L. Hachette, 1855).
L’Art de jardiner les fruits et les légumes à l’ancienne, Paris, Espaces & signes, 2021 (tiré de Le Jardinage, ou l’Art de créer et de bien tenir un jardin, Paris, Paris, L. Hachette, 1855).
L’Art de jardiner sur son balcon à l’ancienne, Paris, Espaces & signes, 2022 (tiré de Le Jardinier des salons, ou l’Art de cultiver les fleurs dans les appartements, sur les croisées et sur les balcons, 4e éd., Paris, J. Taride, 1875, Bibliothèque des salons).
L’art de jardiner dans son salon à l’ancienne, Paris, Espaces & signes, 2022 (tiré de Le Jardinier des salons, ou l’Art de cultiver les fleurs dans les appartements, sur les croisées et sur les balcons, 4e éd., Paris, J. Taride, 1875, Bibliothèque des salons).

Sources

Archives nationales, Fonds Fourier et Considerant, Archives sociétaires, 10AS37(2) (681Mi59), rapport de Cantagrel à Allyre Bureau, de Dijon le 5 novembre 1844 ; de Lons-le-Saulnier, le 15 novembre 1844 ; de Hyères, le 3 décembre 1844.
Archives de Paris, V10E12 Table des mariages et des divorces célébrés à Paris de 1793 à 1802, TIS-Z (en ligne sur Geneanet, vue 282/288).
Archives départementales de Seine-Maritime, état civil de Rouen, 4 E 2262, acte de naissance d’Alexandre Victor Frédéric Ysabeau, n° 1365 du 24 ventôse an VIII (15 mars 1800) (en ligne sur le site des Archives départementales de Seine-Maritime, vues 200-201/234).
Archives de Versailles, 4E 4032, registre des mariages, acte n° 25 du 12 février 1833
(en ligne sur le site des Archives municipales de Versailles, vue 30/186).
Archives de Paris, V4E 4259, état civil de Paris (13e arrondissement), registre des décès, acte de décès d’Alexandre Victor Frédéric Ysabeau, n° 673 du 21 avril 1873 (en ligne sur le site des Archives de Paris, vue 28/31).
Archives de Paris, IVR_RJ18731873_01, Registres journaliers d’inhumation du cimetière parisien d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), 25/03/1873 – 22/04/1873 (en ligne sur Geneanet, vue 30/31).
Archives de Paris, état civil reconstitué, V3E/N 2255, fichier des naissances, fiche Alexandrine Adrienne Ysabeau, 1er juillet 1836 (en ligne sur le site des Archives de Paris, vue 24/51)
Archives de Paris, état civil reconstitué, 5Mi1 432 acte de naissance d’Alexandrine Adrienne Ysabeau du 1er juillet 1836 (en ligne sur le site des Archives de Paris, vue 9/51)
Archives de Paris, état civil reconstitué, V3E/N 2255, fichier des naissances, fiche d’ Alexandre Victor Émile Ysabeau, 8 août 1837 (en ligne sur le site des Archives de Paris, vue 25/51).
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Bibliographie

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Sitographie

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« Claude, Alexandre, Ysabeau, (1754-1831), Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny), en ligne sur le site de l’Assemblée nationale.
« Charles Auguste Fourdrin, architecte à Paris », (Agohra, Plateforme de données de la recherche de l’Institut national d’histoire de l’art).
« Charles Auguste Fourdrin », en ligne sur Geneanet.


Index

Lieux : Belgique - Bruxelles, Belgique - Paris, Seine

Notions : Agriculture - Agronomie - Arboriculture - Edition - Enseignement - Enseignement agricole - Horticulture - Jardinage - Littérature - Pédagogie - Presse - Sciences naturelles

Pour citer cette notice

SOSNOWSKI Jean-Claude, « Ysabeau, (Victor-Frédéric-) Alexandre », Dictionnaire biographique du fouriérisme, notice mise en ligne en mai 2023 : http://www.charlesfourier.fr/spip.php?article2516 (consultée le 25 mai 2023).

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