Habitant à l’île Maurice. Avocat. Participant au banquet phalanstérien de 1849 à Port-Louis (île Maurice).
Henri Bertin fait ses études à Paris où il obtient une licence de droit. Revenu à l’île Maurice, il est avocat assermenté à la Cour d’appel à partir de 1841. Lors du banquet phalanstérien organisé à Port-Louis en avril 1849, il porte un premier toast « à la Fraternité, à l’Union », puis un second à la santé d’Evenor Dupont, principal propagandiste des idées fouriéristes sur l’île Maurice [1].
[1] Raymond d’Unienville, Tentative socialiste à l’île Maurice, 1846-1851, Curepipe (île Maurice), Société de l’histoire de l’île Maurice, 2009, p. 99-100 et p.120, note 14.
Bibliographie :
Raymond d’Unienville, Tentative socialiste à l’île Maurice, 1846-1851, Curepipe (île Maurice), Société de l’histoire de l’île Maurice, 2009, X-178 p.
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