Jean-Augustin Barral est le fils d’un ancien officier des armées napoléoniennes, tandis que sa mère est fille et sœur de directeurs d’établissement scolaire. Il fait ses études au lycée (alors appelé collège royal) de Metz, puis entre à l’Ecole polytechnique en 1838.

- (Panthéon scientifique de la Tour Eiffel, 1892)
Les sciences et le mouvement sociétaire
A sa sortie, il rejoint l’administration des tabacs à la manufacture de Paris ; chimiste, il effectue des travaux sur la composition de la nicotine et présente dès 1842 ses premiers résultats à l’Académie des sciences, qu’il complète dans un second mémoire en 1845. Il fait ensuite des recherches sur les dorures au mercure et les dorures électro-chimiques, sur la faïence appliquée aux poêles et aux panneaux de cheminée, sur les électro-aimants, etc. Tout en réalisant ces travaux scientifiques, Barral enseigne la physique et la chimie au collège Sainte-Barbe à partir de 1841 ; il est aussi répétiteur de chimie à l’École polytechnique (à partir de 1845). Il réalise également diverses expertises judiciaires pour des affaires de contrefaçons. Il se marie vers 1840 avec Fanny Léonie Janot, fille d’un officier ; trois garçons et une fille naissent de cette union.
Parallèlement à ses recherches scientifiques et à ses activités d’enseignement, Jean-Augustin Barral participe aux activités du mouvement fouriériste. S’il n’apparaît dans la liste des collaborateurs réguliers de La Phalange (1836-1843), il figure dans la « liste alphabétique des personnes qui ont concouru à la rédaction du tome I » (août-décembre 1843) de La Démocratie pacifique et fait désormais partie des collaborateurs réguliers du quotidien jusqu’en 1848 ; il intervient sur des questions où il utilise ses compétences scientifiques et techniques : la mauvaise qualité du pain de munition, les falsifications des huiles, l’éclairage, les brevets d’invention (lors de la discussion de la loi, en 1844), les chemins de fer, etc. Il contribue aussi à la rédaction de l’Almanach phalanstérien [1]. Il est l’un des orateurs du banquet organisé à Genève, pour célébrer l’anniversaire de la naissance de Fourier, en avril 1847 [2].
Il accueille avec enthousiasme le renversement de la monarchie et l’installation de la République, comme le montre une brève lettre écrite le 26 février 1848 et adressée à sa famille, à Metz :
Ma chère mère et mes chères sœurs,
Nous avons balayé la dynastie d’Orléans – assez de royauté – la république ! – le peuple s’est admirablement bien conduit – tout va bien [3].
Il fait partie des quinze membres formant le « comité de direction de la Démocratie pacifique constitué en Comité électoral central » après Février 1848 [4]. Il préside le Comité électoral démocratique du 11e arrondissement, constitué en mars [5]. Il envisage un moment de présenter sa candidature à l’Assemblée constituante dans le département de la Moselle au printemps 1848, mais y renonce [6]. Il est membre de la Société centrale démocratique, fondée en mai 1848 [7]. Il entre dans l’encadrement des Ateliers nationaux, étant selon les cas désigné comme l’un des « sous-directeurs » ou « chef du secrétariat de la deuxième direction des ateliers nationaux » [8]. Lors du banquet organisé en octobre 1848, à l’issue du « Congrès phalanstérien », il prononce un toast : « Aux proscrits de toutes les nations ! A l’anéantissement des guerres civiles » [9].
Cependant, ses convictions fouriéristes lui valent quelques ennuis quand la république prend une orientation conservatrice. En juillet 1848, il passe quelques jours en prison, à la suite, semble-t-il, d’une dénonciation calomnieuse concernant son rôle lors de l’insurrection de juin, et surtout, écrit La Démocratie pacifique, parce qu’il est « un ardent ami du peuple » qui « expie […] dans les prisons préventives de la République le crime de ses convictions républicaines » [10]. Il est libéré vers le 12 juillet [11]. Peut-être est-il arrêté une seconde fois, au lendemain du 13 juin 1849 et de la manifestation de protestation contre la politique romaine du président de la République ; d’après des témoignages tardifs, il fait l’objet d’un mandat d’amener devant la justice. Se constituant prisonnier, il est interrogé par un juge d’instruction, mais rapidement relâché [12]. A moins qu’il ne s’agisse d’une confusion avec les événements de juin 1848 [13]. Dans tous les cas, les poursuites sont rapidement abandonnées. Cependant, il perd son poste de répétiteur à l’Ecole polytechnique et bientôt ses cours à Sainte-Barbe.
Bénéficiant de l’appui et de la protection de François Arago, il peut toutefois continuer ses activités scientifiques ; avec le soutien de l’astronome, en compagnie de son ami Alexandre Bixio, et muni de nombreux instruments de mesure physique et météorologiques, il fait deux voyages aérostatiques en 1850. Le premier est interrompu par une déchirure du ballon, qui provoque une chute spectaculaire de l’engin, mais finalement sans conséquence dramatique pour les deux passagers. Le second mène les deux hommes à une altitude de plus de 7 000 mètres et à une température proche de moins 40°C. Arago souligne l’intérêt scientifique des observations des deux hommes à l’Académie des sciences [14]. Dans les années 1860, Barral participe à la naissance de la Société de navigation aérienne avec Nadar, qui le décrit comme son maître. En 1863, il accepte la présidence de cette société [15]. Jean-Augustin Barral et son fils Georges ont d’excellents rapports avec Nadar, rapports dont on retrouve la trace dans des lettres de 1864, où Nadar parle des affaires de la Société, tout en offrant sa « poignée de main la plus déférentielle et hélicoptéroïdale » [16].
Barral, au début des années 1850, travaille à l’Observatoire de Paris aux côtés d’Arago. Il fait des analyses de l’eau de pluie afin d’en déterminer la composition chimique ; il aide son maître, dont la santé décline et qui perd la vue, à faire ses recherches en physique et en astronomie et à rédiger ses ouvrages. Il l’assiste dans ses derniers moments et, chargé de faire un discours lors de ses obsèques, il ne peut « prononcer que quelques paroles entrecoupées par des sanglots » [17]. Après la mort du savant, c’est lui qui est chargé de la publication posthume de ses œuvres.
Cependant, l’orientation des activités de Barral est en train de changer. En 1849 ou 1850, il prend la direction du Journal d’agriculture pratique, un organe fondé en 1837 par Bixio, auquel il collabore déjà depuis 1845. Désormais, sans renoncer complètement à ses travaux de chimie et de physique, et plus généralement aux sciences, il se consacre davantage aux questions agricoles et agronomiques, dont il est l’un des principaux spécialistes en France jusqu’aux années 1880.
Agriculture et promotion des sciences
Nommé à la tête du Journal d’agriculture pratique, Barral en rend plus fréquente la parution, qui, de mensuelle, devient bimensuelle. Il s’efforce de développer un réseau de correspondants locaux et d’accroître la place accordée aux comices agricoles et aux sociétés de province pour obtenir des informations. Il accorde également une plus grande importance aux éléments de la conjoncture économique et de l’actualité politique qui peuvent avoir des conséquences sur la situation de l’agriculture et notamment sur les cours des produits agricoles [18]. Il tient une rubrique sur la météorologie, alimentée par les observations des lecteurs. Cette question lui paraît d’ailleurs très importante, notamment en raison des effets qu’elle a sur l’agriculture. Aussi contribue-t-il, avec Gasparin et quelques autres, à la création de la Société météorologique de France en 1853.
Barral ne limite pas son travail journalistique au Journal d’agriculture pratique. Il crée en 1857 un Cercle de la presse scientifique qui organise des réunions lors desquelles sont discutées des questions scientifiques et sont parfois présentées des inventions ; puis, il fonde une revue de vulgarisation scientifique, La Presse scientifique des deux mondes, qui paraît de 1860 à 1867, et à la direction de laquelle contribuent très tôt deux de ses fils, Jacques et surtout Georges. Jean-Augustin Barral collabore aussi à de nombreux autres périodiques, les uns scientifiques (les Annales de chimie et de physique), les autres généralistes, comme L’Opinion nationale, quotidien fondé par l’ancien saint-simonien Guéroult, auquel participent aussi des (ex-)fouriéristes comme Charles Sauvestre ; il fournit également des notices pour des ouvrages collectifs, comme le Dictionnaire des arts et manufactures. Il est membre de plusieurs sociétés savantes et professionnelles, telles la Société d’encouragement à l’industrie nationale, la Société internationale d’études sociales fondée par Frédéric Le Play [19] et la Société des Agriculteurs de France. Il continue par ailleurs à intervenir dans des affaires judiciaires et à rédiger des rapports d’expertise ; en 1857-1858, il intervient par exemple dans un procès concernant les procédés de distillation de l’alcool de betterave impliquant le chimiste Dubrunfaut [20].
En juillet 1866, ayant dû quitter le Journal d’agriculture pratique, quelques mois après la mort de Bixio et en raison semble-t-il de différends avec les héritiers, Barral fonde un nouvel organe, le Journal de l’agriculture. De façon générale, dans ces différentes entreprises, il s’agit d’utiliser la presse pour diffuser les progrès scientifiques, techniques, mais aussi économiques, sociaux... Il poursuit les mêmes objectifs en participant aux Entretiens populaires, des conférences de vulgarisation scientifique où il traite de l’agriculture, de chimie et de physique.
Son activité dans différents périodiques, ses travaux de laboratoire, complétés par des études de terrain, et ses publications sur le drainage, sur l’irrigation et plus généralement sur la fertilisation des sols, puis sur la vigne et le phylloxera, lui confèrent une notoriété et une autorité scientifiques qui se traduisent par des récompenses ainsi que par de nombreuses sollicitations : il reçoit en 1863 le prix de Morogues pour les efforts qu’il a déployés en faveur de la science agronomique ; il est appelé lors des manifestations organisées par les comices agricoles ; les autorités lui attribuent des missions et l’invitent à siéger dans les jurys des concours agricoles et des expositions universelles (en 1855 et 1867 à Paris ; en 1862 à Londres). Il rédige de nombreux rapports, nourris de considérations topographiques et géologiques, d’analyses chimiques et de statistiques portant aussi bien sur les températures que sur les coûts et les prix de vente, et d’études de cas avec des monographies d’exploitations. Il est admis dans de nombreuses sociétés savantes et reçoit plusieurs récompenses et décorations : en 1852, il reçoit une médaille de la Société nationale d’agriculture qui l’accueille dans sa section des sciences physico-chimiques en 1857. Chevalier de la Légion d’honneur en 1855, il est promu officier en 1863. Il semble assez proche des cercles du pouvoir, et notamment du prince Jérôme Napoléon, cousin de l’empereur Napoléon III et figure du « bonapartisme de gauche » ou du « bonapartisme social » qui s’exprime notamment dans L’Opinion nationale et à l’intérieur du groupe du Palais-Royal. En tout cas, quand sa fille Fanny se marie en février 1866 avec un officier des dragons, le prince Napoléon est l’un des témoins de l’épouse (il est toutefois absent lors de la cérémonie et il se fait représenter par son aide de camp).
Quelques mois plus tard, le 4 juin, un double mariage est célébré à la mairie du Xe arrondissement : celui de Jean-Augustin Barral, veuf de sa première épouse, et de Marie-Thérèse Van Engelen, originaire de Belgique et elle-même veuve d’un ingénieur civil, et celui qui unit le fils du premier, Georges, à la fille de la seconde, Mathilde Savalle ; les témoins sont les mêmes pour les deux couples ; on y reconnaît les fouriéristes César Daly et Charles Pellarin.
Fouriérisme et politique
Au milieu des années 1860, Barral renoue avec le mouvement sociétaire, alors en cours de réorganisation sous la direction de François Barrier. Il participe avec son fils Georges au banquet du 7 avril 1865, qui réunit un grand nombre de fouriéristes. Le compte rendu de la fête est d’ailleurs publié dans La Presse scientifique. L’année suivante, un Barral figure sur la liste des convives du banquet phalanstérien, mais on ignore s’il s’agit de Jean-Augustin ou de l’un de ses fils [21]. Dans le Journal d’agriculture pratique, puis dans le Journal de l’agriculture, il donne un écho à la proposition de Granday, qui souhaite réunir des capitaux et des énergies afin de créer une association agricole. Barral reste en relation épistolaire avec plusieurs de ses condisciples [22]. Son investissement dans le mouvement sociétaire reste cependant modeste ; il n’apparaît pas parmi les souscripteurs de la Librairie des sciences sociales, ni sur les listes de ceux qui soutiennent la Société de Beauregard (à Vienne, en Isère) ou la Maison rurale de Ry (près de Rouen).
Il s’engage davantage sur le terrain politique, en Moselle, son département natal. Il est candidat pour la première fois lors de l’élection législative de 1863 dans la circonscription de Metz, avec le soutien de l’organe des républicains modérés, le Courrier de la Moselle ; il se présente comme « libéral démocratique », mais il se déclare hostile à une « opposition systématique » envers le régime ; arrivé en tête dans la ville de Metz, il est largement distancé pour l’ensemble de la circonscription par le candidat officiel, qui est le député sortant.
« Ses opinions politiques sont très libérales, mais il ne serait nullement hostile au Gouvernement impérial », estime le préfet de police de Paris en 1865 [23]. En 1867, il est élu au conseil général dans l’un des cantons messins, mais l’élection est annulée ; lors du nouveau scrutin, en 1868, ses affiches portent la mention « candidat démocrate libéral, non-clérical » ; il bat le candidat officiel, conservateur et clérical. Il se représente aux élections législatives de 1869, mais il doit affronter plusieurs rivaux libéraux, outre le candidat officiel qui l’emporte. Lors de ces différents scrutins, Barral se heurte aux réticences d’une partie des républicains, qui lui reprochent d’avoir régulièrement fréquenté et servi le pouvoir bonapartiste. Lors du plébiscite de 1870, certains d’entre eux se détachent franchement de lui, quand, dans le Journal de l’agriculture, il appelle à répondre « oui » et donc à approuver les réformes libérales du régime impérial, ce qui, aux yeux des républicains, revient à soutenir Napoléon III [24]. Plusieurs membres de son comité électoral de 1868 et de 1869 expriment leur désapprobation dans la presse locale [25]. L’Indépendant de la Moselle dénonce avec virulence l’opportunisme de Barral :
M. Barral [est] devenu aujourd’hui olliviériste. Avant d’être candidat de l’opposition à Metz, n’avait-il point accepté les faveurs du pouvoir et ne les recherche-t-il point encore en ce moment ? Mais ces accommodements, ces chassez-croisez [sic] ne satisfont nullement les électeurs du 3e canton qui attendent de M. Barral sa démission de conseiller général [26].
A la suite de la reddition de l’armée française enfermée à Metz, en octobre 1870, il publie un texte très critique à l’égard de Bazaine, à qui il reproche d’avoir préféré la défaite et le maintien des Bonaparte au pouvoir, à la victoire accompagnée de l’installation de la République. Mais l’annexion de l’Alsace-Moselle à l’Empire allemand en mai 1871 entraîne sa rupture d’avec sa ville natale. En même temps, il abandonne la modeste carrière politique commencée au début des années 1860.
Dans les années 1870, il continue ses activités de publiciste. Il effectue encore des expertises devant les tribunaux, notamment dans une affaire qui concerne Jean-Baptiste Godin, le fondateur du Familistère de Guise [27]. Mais il consacre l’essentiel de son temps aux questions agricoles et agronomiques. Élu secrétaire perpétuel de la Société nationale d’agriculture de France en 1871, il devient commandeur de la Légion d’honneur en 1880. Toujours à la tête du Journal de l’agriculture ; il commence la rédaction d’un ambitieux Dictionnaire d’agriculture, achevé et publié après sa mort par son collaborateur Henry Sagnier. Il prononce des conférences, continue à participer aux concours et aux expositions. C’est lors de son retour de l’exposition d’Amsterdam, à laquelle il s’est rendu bien qu’il soit gravement malade depuis plusieurs mois, qu’il décède à Fontenay-sous-Bois.
Quelques années plus tard, son nom est gravé en lettres d’or sur une frise du premier étage de la tour Eiffel, où l’on trouve les noms des soixante-douze savants qui ont fait faire depuis 1789 le plus de progrès à l’agriculture et à l’industrie [28].
Œuvres :
Demande en déchéance de brevets d’invention […] formée par MM. Vogt, Birkel et Scheib, contre MM. Pichenot et Cie. Rapport et réfutation de ce rapport par M. Barral, Paris, Imp. E. Duverger, 1844.
Contrefaçon des procédés de dorure et d’argenture de MM. Elkington et de Ruolz, rapport d’expertise par MM. Barral, Chevalier et Henry. Ch. Christofle et Cie contre Roseleur, Garnier et Clomesnil, Paris, Imp. E. Duverger, 1847, 376-44 p.
Essai technologique sur l’orfèvrerie, Paris, L. Mathias, 1846, 24 p., fig. (extrait du Dictionnaire des arts et manufactures).
Congrès des agriculteurs du Nord. Engrais et amendements, rapport de M. Barral, Valenciennes, Imp. de E. Prignet, 1852, 32 p.
François Arago, Paris, Dusacq, 1853, 24 p.
Astronomie populaire, par François Arago, publiée sous la direction de J.-A. Barral, Paris, Gide ; Leipzig, T. O. Weigel, 1854-1857, 4 volumes (en ligne sur Gallica).
Emploi de la poudrette de Bondy (avec F. Jacquemart), Paris, Imp. de Firmin-Didot frères, 1854, 4 p. (extrait du Journal d’agriculture pratique, 29 février 1854).
Etamage des épingles, examen d’un rapport d’expert. Affaire Hurel-Masson contre Roseleur et Boucher), Paris, Imp. de Ducessois, 1855, 20 p.
Drainage, irrigations, engrais liquides, Paris, Librairie agricole de la Maison rustique, 1856-1860 (2e éd.), 4 volumes (en ligne sur Gallica).
Consultation de M. Chevallier dans l’affaire Dubrunfaut contre MM. Leufrey [sic], Lefebvre et Cie, Paris, Imp. E. et V. Penaud frères, 1856, 79 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Conclusions pour M. Dubrunfaut, chimiste, […] partie civile intimée contre les sieurs Lanfrey, Lefebvre et Cie, distillateurs, […] appelant d’un jugement du tribunal correctionnel de Cambrai à la date du 11 [sic, 21] novembre 1856, qui les a déclarés convaincus de contrefaçon, Valenciennes, Imp. B. Henry, 1857, 21 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Consultation, Paris, Imp. F. Malteste, 1857, 28 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Cour de cassation. Chambre criminelle. Mémoire en défense pour MM. Lanfrey, Lefebvre et compagnie, contre M. Dubrunfaut, demandeur en cassation d’un arrêt de la Cour impériale de Douai, du 31 mars 1857, Paris, Imp. Le Normant, 1857, 29 p.
Guérison de la maladie de la vigne, instructions sur le soufrage, rapport lu dans la séance de la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, le 3 juin 1857, Paris, Librairie agricole de la Maison rustique, 20 p. (extrait du Journal d’agriculture pratique).
Distillation des betteraves. Mémoire de MM. Barral, Chevalier et Payen (affaire Lanfrey, Lefebvre et Cie, contre Dubrunfaut), Paris, Imp. de S. Raçon, 1857, 35 p.
Distillation du jus de betteraves. Affaire Lanfrey, Lefebvre et Cie contre Dubrunfaut (avec A. Chevallier et A. Payen), Douai, Imp. a. d’Aubers, 1858, 31 p.
Cour impériale de Douai. Réquisitoire […] dans la cause de M. Lefebvre contre M. Dubrunfaut, Paris, Imp. Guiraudet et Jouaust, 1858, 52 p.
Comparaison des brevets de M. Dubrunfaut avec les publications de 1824 et 1825 appartenant au domaine public, Douai, Imp. V. Wartelle, 1858, 12 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Le Bon fermier. Aide-mémoire du cultivateur, Paris, Librairie agricole de la maison rustique, 1858, 1168 p. (2e éd. en 1861, VIII-1448 p., en ligne sur Gallica).
Eloge historique de Charles-Gilbert de Morel-Vindé, lu le 30 novembre 1859 dans la séance publique de rentrée de la Société centrale d’agriculture, Paris, Librairie de la Maison rustique, 1860 (extrait du Journal d’agriculture pratique).
Concours international de machines à moissonner sur le domaine de Fouilleuse, les 19, 20 et 21 juillet 1859. Rapport du jury, Paris, Libraire agricole de la Maison rustique, 1860.
De l’influence exercée par l’atmosphère sur la végétation, leçon professée à la Société chimique de Paris, le 4 mai 1860, Paris, Imp. de C. Lahure, 1861 (48 p.) (en ligne sur Gallica).
Concours général d’agriculture de 1860. Rapport sur les instruments et appareils agricoles, Paris, Vve Bouchard-Huzard, 1863, 112 p. (Société impériale et centrale d’agriculture de France).
Avis de M. Salvetat. Affaire Dumont contre Boulet et Bonzel [à propos du brevet d’invention, pris par le premier en 1856, concernant un système nouveau pour la fabrication mécanique des tuiles] (rédacteurs : L.-A. Salvetat, J.-A. Barral, E. Lenglet, Dartois et Fessy), Paris, Imp. Renou et Maulde, 1863, 22 p.
Le Blé et le pain, liberté de la boulangerie, Paris, Librairie agricole de la Maison rustique, 1863, 697 p.
Aux électeurs de la première circonscription de la Moselle. (Canton de Boulay, Gorze, Metz, Gauge, Verny, et Vigy), Metz, imp. de F. Blanc, 1863.
Première Circonscription de la Moselle. Cantons de Boulay, Gorze, Metz, Gauge, Verny et Vigy,... A MM. les cultivateurs. Metz, 25 mai 1863, Metz, Imp. de F. Blanc, 1863.
Election au corps législatif. J. A. Barral, candidat aux électeurs de la première circonscription de la Moselle, Metz, 28 mai 1863, Metz, Imp. F. Blanc, 1863.
Exposition universelle de 1867, à Paris. Rapports du jury international. Tabacs, fourrages, huiles, Paris, P. Dupont, 1867, 46 p.
Atlas du Cosmos, contenant les cartes géographiques, physiques, thermiques... applicables à tous les ouvrages de sciences physiques et naturelles et particulièrement aux œuvres d’Alexandre de Humboldt et de François Arago, Paris, L. Guérin, 1867, 26 pages + 26 cartes.
L’Agriculture du Nord de la France, tome 1, La ferme de Masny, exploitée par M. Fiévet, Paris, C. Delagrave, 1867, X-340 p., pl.
L’Agriculture du Nord de la France. Tome 2, première partie, La ferme de Rougeville, exploitée par M. Edouard Hamoir, Paris, Imp. de Lahure, 1867, 31 p., pl. et fig.
Aux électeurs de la 1ère circonscription de la Moselle, Metz, Imp. F. Blanc, s.d. [1869], affiche.
L’Agriculture du Nord de la France, tome 2, Les fermes de Rexpoëde, Killem et Ambouts-Cappel, appartenant à M. Vandercolme. L’agriculture des environs de Dunkerque : les Moëres, Paris, V. Masson, 1870, XXVI-506 p. et planches, fig.
Funérailles de M. Godin aîné, agriculteur à Châtillon-sur-Seine et à Brion-sur-Ource (Côte-d’Or), décédé le 3 mars 1870, Paris, Masson et fils, 1870, 12 p. (extrait du Journal de l’agriculture, 20 mars 1870).
Le Guano péruvien biphosphaté, Paris, Imp. de C. Lahure, 1870, 8 p. (extrait du Journal de l’agriculture).
Metz et le maréchal Bazaine, Paris, Lib. A. Chevalier, 1870 (2e éd.), 24 p.
L’Ecole d’agriculture de Grignon, Paris, G. Masson, 1872-1873, 2 fascicules (extrait du Journal de l’agriculture des 7 et 21 décembre 1872).
Cour d’appel de Nancy. Affaire E. Boucher et Cie, intimés, contre Godin, appelant. Pièces justificatives précédées d’une observation, Paris, Imp. Chaix, 1873, 118 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Cour d’appel de Nancy. Affaire E. Boucher et Cie, intimés, contre Godin, appelant. Antériorités, Paris, Imp. Chaix, 1873, 86 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Cour d’appel de Nancy. Affaire E. Boucher et Cie, intimés, entre Godin, appelant. Brevets de M. Godin sur l’émaillage annotés, Paris, Imp. A. Chaix, 1873, 86 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Cour d’appel de Nancy. Affaire E. Boucher et Cie, intimés, contre Godin, appelant. Conclusions de M. l’avocat Général Angenoux. Audience du 25 avril 1873, Paris, Imp. Chaix, 1874, 36 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Émaillage de la fonte de fer par les procédés de M. Godin. Avis de MM. J.-A. Barral, V. de Luynes et Henri Peligot, Paris, Imp. Lahure, 1874, 55 p.
Cour d’appel de Nancy. Affaire E. Boucher et Cie, intimés, contre Godin, appelant. Arrêt de la Cour de Nancy [du 3 Mai 1873] ordonnant l’expertise. Rapport des experts, Paris, Imp. Chaix, 1874, 50 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Discours prononcé sur la tombe de M. Darblay (par M. J.-A. Barral et M. F. Bella), Paris, Imp. Vve Bouchard-Huzard, 1874, 8 p. (Extrait du Bulletin des séances de la Société centrale d’agriculture de France, 1873).
Eloge biographique de M. Pierre-Charles-Mathieu Combes, membre de la Société centrale d’agriculture de France, lu dans la séance publique, tenue le dimanche 13 décembre 1874, Paris, Vve Bouchard-Huzard, 1874, 24 p.
Audiences des 4, 5 et 6 Juin 1874. Cour d’appel de Nancy Première Chambre civile [...], Jean-Baptiste-André Godin, [...] appelant [...] contre E. Boucher et Cie […],... intimés, Paris, Imp. Lahure, 1874, 23 p. (plusieurs rédacteurs, dont J.-A. Barral).
Audiences des 4, 5 et 6 Juin 1874. Cour d’appel de Nancy Première Chambre civile [...], Jean-Baptiste-André Godin, [...] appelant [...] contre E. Boucher et Cie […], intimés, Nancy, Imp. N. Collin, 1874, 15 p. (plusieurs rédacteurs, dont J.-A. Barral).
Eloge biographique de M. le vicomte de Courval, membre de la Société centrale d’agriculture de France, lu dans la séance publique tenue le dimanche 18 juin 1876, Paris, Vve Bouchard-Huzard, 1876, 15 p.
Cour d’appel d’Amiens. Renvoi après cassation. Conclusions pour MM. E. Boucher et Cie contre M. Godin. Affaire de la presse, Paris, Imp. Chaix, 1877, 11 p. (Barral est l’un des rédacteurs).
Discours sur les irrigations du département du Vaucluse, Paris, Masson, 1877, 14 p. (extrait du Journal de l’Agriculture).
Discours sur les irrigations du département de la Haute-Vienne, Paris, bureaux du Journal de l’Agriculture, 1878, 16 p. (extrait du Journal de l’agriculture).
Enquête sur la situation de l’agriculture en France en 1789, faite à la demande de M. le Ministre de l’agriculture et du commerce par la Société nationale d’agriculture, Paris, 1879-1880, 2 volumes.
Eloge biographique de M. Pierre-Amédée Durand, Paris, Imp. de J. Tremblay, 1880, 16 p. (Société nationale d’agriculture de France. Séance solennelle de rentrée du 22 décembre 1880).
Avenir de grandes exploitations agricoles établies sur les côtes du Vénézuéla [sic], Paris, G. Masson, 1881, 164 p. (en ligne sur Gallica).
Conférence sur les applications de l’électricité à l’agriculture, faite au palais des Champs-Elysées, dans la salle du Congrès des électriciens, le 26 octobre 1881, Paris, G. Masson, 1881, 40 p.
Discours prononcé aux funérailles de M. Delesse, membre de l’Institut, inspecteur général des mines, le 29 mars 1881 (par MM. Daubrée, J.-A. Barral et Fischer), Paris, Dunod, 1881, 15 p. (extrait des Annales des Mines, mars-avril 1881).
Conférence sur le phylloxera, faite le 1er avril 1882, Paris, Imp. de J. Tremblay, 1882, 47 p. (Société d’encouragement pour l’industrie nationale).
Discours prononcé aux obsèques de M. de Béhague, ancien président de la Société nationale d’agriculture, Paris, Hôtel de la Société, 1884, 12 p. (Société nationale d’agriculture de France).
Discours prononcé aux obsèques de M. Lavallée, trésorier perpétuel de la Société nationale d’agriculture, Paris, Hôtel de la Société, 1884, 10 p. (Société nationale d’agriculture de France).
Discours prononcé le 20 juin 1884 aux obsèques de M. Gaudin, trésorier perpétuel de la Société nationale d’agriculture, Paris, Hôtel de la Société, 1884, 7 p. (Société nationale d’agriculture de France).
Eloge biographique d’Achille Delesse, Paris, 1884, 29 p. (Société nationale d’agriculture de France, séance publique annuelle du 2 juillet 1884).
Dictionnaire d’agriculture. Encyclopédie agricole complète (continué sous la direction de Henry Sagnier), Paris, Hachette, 1886-1892, 4 volumes (en ligne sur Gallica).
L’Agriculture, les prairies et les irrigations de la Haute-Vienne. Rapports adressés à M. le ministre de l’Agriculture (31 mai 1884), Paris, Imp. nationale, 1884, IX-771 p. et pl.
A cela s’ajoute la direction de plusieurs publications :
Journal d’agriculture pratique (Barral y écrit à partir de 1845 et le dirige de 1849-1850 à 1866).
Revue horticole (Barral la dirige de 1859 à 1866, quand son Journal de l’agriculture l’absorbe).
Presse scientifique des deux mondes [puis Presse scientifique et industrielle des deux-mondes]. Revue universelle des sciences pures et appliquées, 1860-1867 (J.-A. Barral le crée et le dirige avec son fils Georges).
Journal de l’agriculture (Barral le crée en 1866 et le dirige jusqu’en 1884).
Almanach de l’agriculture [pour les années 1867 à 1885], Paris, 1866-1884, 18 vol. (publié par le Journal de l’agriculture).
Bulletin hebdomadaire de l’agriculture, 1867-1870 (supplément du Journal de l’agriculture).
Bulletin des séances de la Société centrale d’agriculture (J.-A. Barral le dirige de 1871-1872 à 1883) (en ligne sur Gallica)
Barral a collaboré à plusieurs ouvrages collectifs et à de nombreux périodiques :
Annuaire météorologique, 1849-1852.
Conférences de l’Association polytechnique, publiées par Evariste Thévenin, 1ère série, 1859. Le chaos, l’homme, l’agriculture, les chemins de fer, par MM. Babinet, Ph. Chasles, Barral, Perdonnet, Paris, Hachette, 1860, 175 p.
Association polytechnique. Entretiens populaires, 2e série (1861), Paris, 1862 (réédité en 1867) (Barral est l’auteur de « L’Agriculture »).
Association polytechnique. Entretiens populaires, 4e série (1863), Paris, 1864 (Barral est l’auteur de « De l’Air »).
Association polytechnique. Entretiens populaires, 5e série (1864), Paris, 1865 (Barral est l’auteur de « L’Agriculture française en 1789 et en 1864 »).
Almanach général des chemins de fer [pour les années 1864 à 1870], publié par Evariste Thévenin, Paris, Gosselin, 1863-1869.
Articles dans La Démocratie pacifique, L’Opinion nationale, la Revue des deux-mondes, les Annales de chimie et de physique, le Bulletin de la Société d’encouragement à l’industrie nationale, etc.
Sources :
Archives nationales, fonds Fourier et Considerant, 10 AS 30 (681 Mi 49, vue 124), liste des inscrits au banquet de 1866.
Archives nationales, F/17/3115/1, indemnités littéraires, dossier Barral.
Archives nationales, F/18/267, dossier Barral, à propos d’un projet de périodique (1865).
Archives nationales, dossier de légion d’honneur LH/119/40 (en ligne sur la base Léonore).
Archives nationales, dossier de légion d’honneur LH/119/41 (en ligne sur la base Léonore).
Archives et Musée de la Littérature (AML), Bibliothèque royale Albert 1er (Bruxelles, Belgique), ML 3732-3736, lettres adressées à Jean-Augustin Barral ou à son fils Georges.
Archives départementales de la Moselle, 19 J 847/19, fonds du grand séminaire de Metz, lettres de Barral à divers destinataires (dont le Moniteur de la Moselle), 1852-1868.
Archives municipales de Metz, état civil, acte de naissance du 31 janvier 1819.
Archives de Paris, état civil du 10e arrondissement, acte de mariage du 4 juin 1866 (en ligne sur le site des Archives de Paris, vue 2/31).
Archives départementales du Val de Marne, état civil de Fontenay-Sous-Bois, acte du 11 septembre 1884 (en ligne sur le site des Archives départementales du Val-de-Marne, vue 93/162).
Bibliothèque centrale de l’Ecole polytechnique, « Famille polytechnicienne », fiche de Jean-Augustin Barral (en ligne sur le site de la Bibliothèque centrale de l’Ecole polytechnique).
Georges Barral, Le Panthéon scientifique de la tour Eiffel. Histoire des origines, de la construction et des applications de la tour de 300 mètres, biographie de ses créateurs, exposé de la vie et des découvertes des 72 savants dont les noms sont morts sur la grande frise extérieure, Paris, A. Savine, 1892, 508 p. (« J.-A. Barral », p. 42-46) (en ligne sur Gallica).
Adolphe Bitard, Dictionnaire général de biographie contemporaine, Paris, M. Dreyfous, 1878, II-1198 p. (p. 85-86 sur Barral).
Abbé J. Montera, Discours prononcé en l’église Saint-Vincent de Paul de Paris, le mardi 5 juin 1866, à l’occasion du double mariage de MM. J.-A. Barral et Georges Barral ac Mme Vve Marie-Thérèse Savalle et Mlle Mathilde Savalle, Paris, Delagrave et Cie, 1867, 14 p.
Alphonse Lucas, Les Clubs et les clubistes : histoire complète, critique et anecdotique des clubs et des comités électoraux fondés à Paris depuis la révolution de 1848, Paris, E. Dentu, 1851, 271 p.
Nadar (Félix Tournachon, dit), Galerie des savants illustres, Bibliothèque nationale, Nouvelles acquisitions françaises, N°25 013, p. 229-230.
Nadar (Félix Tournachon, dit), Mémoires du Géant : à terre et en l’air, avec une introduction par M. Babinet de l’Institut, Paris, E. Dentu, 1864, 439 p. (en ligne sur Gallica).
Louis Passy, Éloge de J.-A. Barral, Paris, Société nationale d’agriculture de France, 1890, 48 p.
Louis Passy, Discours prononcé aux obsèques de M. J.-A. Barral, secrétaire perpétuel de la Société nationale d’agriculture, Paris, Hôtel de la Société, 1884, 8 p.
Paul de Gasparin, J.-A. Barral secrétaire perpétuel de la Société nationale d’agriculture de France, directeur du Journal de l’agriculture : sa mort, ses funérailles, Paris, éditions Masson, 1884, 16 p. (extrait du Journal de l’agriculture, 13 et 20 septembre 1884).
Nérée Quépat [René Paquet de Hauteroche], Dictionnaire biographique de l’ancien département de la Moselle, Paris, A. Picard, 1887, VI-623 p.
Bulletin de la Société internationale des études pratiques de l’économie sociale, 1865.
Comptes rendus des séances de l’académie des sciences, tome 31, juillet-décembre 1850, p. 122-126 et 126-131 (sur l’ascension aérostatique de Barral et Bixio) (en ligne sur Gallica).
Table générale des Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, tomes I à XXXI, 3 août 1835 à 30 décembre 1850, Paris, Mallet-Bachelier, 1853, 1018 p. (en ligne sur Gallica).
L’Indépendant de la Moselle, 18 mai et 11 juin 1870 (sur le plébiscite).
Le Courrier de la Moselle, juillet 1868 (sur sa candidature et son élection au conseil général) ; 21 et 31 mai 1870 (sur le plébiscite).
Bibliographie :
Henry Contamine, Metz et la Moselle de 1814 à 1870. Etude de la vie et de l’administration d’un département au XIXe siècle, Nancy, Société d’impressions typographiques, 1932, 2 tomes, 496 et 426 p. (thèse pour le doctorat).
A. Dollfus, « Le centenaire des ascensions aérostatiques de Barral et Bixio à l’Observatoire de Paris », L’Astronomie, 65, janvier, 1951, p. 8-15.
Wilfrid de Fonvielle, La Jeunesse d’un grand savant, Paris, E. Gaillard, s. d., 318 p. (biographie de François Arago).
Jean Fornasiero, « Réflexions sur le cas de Jean-Augustin Barral », Cahiers Charles Fourier, n°9, 1998, p. 55-66.
Jean Fornasiero, « Au nom du père : une lettre d’Emile Zola à Georges Barral », Cahiers naturalistes, n°73, 1999, p.53-60.
Dictionnaire de biographie française, Paris, Librairie Letouzey et Ané, 1951, tome V, colonnes 543-544.
Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français (en ligne sur le site du Maîtron).
Iconographie :
Portrait de Jean-Augustin Barral dans Georges Barral, Le Panthéon scientifique de la tour Eiffel. Histoire des origines, de la construction et des applications de la tour de 300 mètres, biographie de ses créateurs, exposé de la vie et des découvertes des 72 savants dont les noms sont morts sur la grande frise extérieure, Paris, A. Savine, 1892, p. 43 (en ligne sur Gallica).
Photographies de Jean-Augustin Barral, atelier Nadar, Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Base mémoire, archives photographiques, N° NA 237 00058 N (en ligne sur la Base mémoires du ministère de la Culture
Portrait de Jean-Augustin Barral, Bibliothèque nationale de France, département Société de Géographie, SG PORTRAIT-1653, (en ligne sur Gallica).
et sur ce site...