Avocat à Dijon (Côte-d’Or).
En 1839, Jean-Claude Oudot le cite parmi la trentaine de Dijonnais qui « se disent hautement phalanstériens » [1].
Comme Janvier-Auguste Gaulin, Charles Bazenet, avocat, est membre du comité de surveillance de la salle d’Asile de Dijon. Victime d’une grave maladie [2], il se démet de ses fonctions en 1840. Il est particulièrement intéressé par les méthodes d’enseignement de Piroux (fondateur d’un établissement de sourds-muets à Nancy) pour l’instruction des sourds et muets.
[1] Archives nationales, Fonds Fourier et Considerant, Archives sociétaires, 10AS41 (681Mi71), lettre de Oudot, 25 mars 1839.
[2] L’Ami des sourds-muets, journal de leurs parents et de leurs instituteurs..., deuxième année, 1839-1840, avril [1840], p. 85-86.
Sources
Archives nationales, Fonds Fourier et Considerant, Archives sociétaires, 10AS41 (681Mi71), lettre de Oudot, 25 mars 1839.
Annuaire de la ville de Dijon, du département de la Côte-d’Or pour l’année 1840..., Dijon, Douillier, [1839 ?], p. 66.
L’Ami des sourds-muets, journal de leurs parents et de leurs instituteurs..., deuxième année, 1839-1840, avril [1840], p. 85-86 (en ligne sur Google livres).
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